Absurdum cogito ergo sum, suite

Doniat Jean-Marc Par Le 03/10/2013 0

A la croisée des chemins.

   Hier, j'expliquais comment je désirais collaborer avec des entreprises afin de développer mes concepts. Beaucoup de lecteurs, mais aucun retour.

Je n'aime pas attendre, et j'ai tant à proposer.

Comme je le disais ce mercredi, je n'ai pas l'aspiration à être chef d'entreprise, pour autant il me faut trouver une méthode pour financer mes prototypes.

Donc, à la manière du petit prince et du renard, je propose un moyen terme.

Parmi mon catalogue de création, j'ai imaginé un système de protection de marchandises aisé à utiliser, ergonomique, sans fermetures mécaniques (zip ou scratch), donc à la durée de vie très longue.

Quand je vous racontais la veille que je structurais tous les tenants et aboutissants d'un projet, nous en avons ici la démonstration:

J'ai les fournisseurs.

J'ai le producteur.

Cette production est "made in France" et sur un plan sociétal, logistique, très développement durable. Atelier de réinsertion, situé au plus proche du client final, donc, on favorise le retour au travail de personnes sincèrement désireuses de retrouver une activité, on finance autrement que par l'impôt ces structures, tout en réalisant une activité économique en respectant le principe du circuit court.

Je puis, il suffit que je me mette en auto entrepreneur, être le coeur du système. Vous passez commande, je me charge de passer les commandes, de gérer la logistique.

Cette housse de protection quasi inusable est réalisée dans un pvc aux normes industrielles (résistance, anti feu...) et existe en 26 coloris.

Pour environ 4 m² de surface, je propose un prix de vente de 100€, hors frais de port, sans t.v.a. (car auto entrepreneur).

Plutôt que de vous faire un argumentaire sur les avantages de mon produit, je vais vous raconter le cheminement intellectuel qui m'a fait "pondre" cette innovation:

Nous avons, dans la société où je suis actuellement salarié une difficulté.

Le développement du E-commerce crée une logistique colis de plus en plus intense.

Ces colis sont, pour partie mis en dépôt en points relais.

L'arrivée du tramway à Tours crée des restrictions, les véhicules sont désormais interdits dans la rue la plus dense en commerces.

Donc, pour alimenter le point relais, il faut sortir les colis du véhicule, garé dans les rues voisines, acheminer via un chariot ces objets. A pied.

J'ai donc pensé qu'une housse pratique était une solution pour:

Eviter la chute d'objet par terre.

Protéger efficacement des intempéries.

Limiter les vols.

De plus, pour fermer cet objet, il n'est plus nécessaire de se pencher pour réunir les ventaux, la fermeture se faisant en partie haute, la cloture est automatique. Sans énergie. Donc, ergonomie, plus de tour de reins.

Le cycle de production est adapté aux commandes réduites, aux petites quantités.

Les marges ont été étudiées de telle manière que ce produit reste financièrement accessible aux professionnels de la livraison ou de la gestion logistique, lesdites marges ne finançant pas des investisseurs, un lourd système administratif mais dégageant juste un cash pour l'autofinancement de mes autres projets.

Je n'en tire aucun revenu personnel.

L'expérience vous tente-t-elle?

Je reste à votre écoute.

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