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analyse

Je passe en vitesse pour donner des nouvelles....

Par Le 09/09/2016

Bonjour à tous!

 

Je suis (beaucoup) moins présent sur ce blog, navigant plus sur FB et autres (LinkedIn, YouTube et consors).
(Vous savez donc où me retrouver si vous le désirez)

Les travaux sur le solaire ont été un peu décevant, par erreur d'organisation de ma part, je le concède.

Ma priorité de ces derniers jours a été à nouveau sur l'usage de l'azote liquide à des fins de transition énergétique au sens large.
Je vous fournis les liens texte et vidéo, pour vous sensibiliser :

https://www.linkedin.com/pulse/apr%C3%A8s-l%C3%A9conomie-carbone-azote-jean-marc-doniat?trk=mp-author-card

 

Amusez-vous bien et à bientôt !

Cop21, l'after...

Par Le 12/12/2015

La Cop21, un bilan mitigé...

(Les fans absolus d'Alexandre Astier apprécieront...)

 

   Je compose ce texte alors que l'on attend d'un instant à l'autre un potentiel accord.

Pour autant, je me donne l'orgueil de donner dès à présent un point de vue sur le sujet.

Car, cette actualité nous parle à plusieurs niveaux, nous interpelle sur notre moi profond.

 

 

Attendons-nous réellement quelque chose des gouvernants, sachant que par le jeu politique, ceux qui s'expriment aujourd'hui pour des objectifs à moyen terme (80 ans!), ne seront sans doute plus là pour répondre de leurs actes?

 

Le progrès (positif ou négatif peu importe) vient-il du politique ou de l'acteur de terrain, citoyen, entreprise, bref toute « cellule vivante de nos sociétés »?

 

Donc, nos aspirations sont-elles réalistes?

A la fois, cette conférence est un peu l'image du père, du sage qui prend de belles décisions, par un biais hiérarchique piramidal, et d'un autre côté, une dictature que l'on rejette (c'est eux qui décident, et nous? ).

 

Cette ambivalence de nos réflexions nous pousse à un peu de modestie.

Si nous ne savons pas être stable dans nos désirs, comment peut-on prétendre demander quoi que ce soit à ceux qui nous représentent, vous le sentez bien le hiatus?

 

Donc, quelle que soient les décisions prises, elles seront imparfaites, incomplètes, contraignantes d'une manière ou d'une autre, bref, susciteront beaucoup d'agacement suivant notre vision des choses, nos oeillères....

 

Que je sache, G. Bell, Pasteur, Archimède, j'en passe et des meilleurs n'étaient pas dirigeants politiques.

 

De Gaulle a voulu une grande nation, il a dit que nous devions avoir ceci et cela, puis, basta, est retourné à ses affaires persos.

(Je vous refile la patate chaude...)

Ce sont les ingénieurs, les entrepreneurs, les ouvriers etc... qui se « sont tapé le boulot » pour que cette orientation devienne réalité.

 

Donc, la Cop21, c'est ça.

 

Des négociateurs qui montrent leurs ambitions, suivant leurs positions respectives de départ, des présentations de la société civile sur l'art et la manière de faire mieux, quitte à se limiter à du « greenwashing » et, l'on se doute, des centaines de labos, d'ateliers, de groupements citoyens qui, dans l'ombre, obstinément, s'activent à pondre les solutions de demain, au sens littéral du terme.

 

Autour de cela, de beaux parleurs se feront le plaisir d'ergoter sur l'actualité, ce qui alimentera de belle pages imprimées ou virtuelles, sans apporter d'eau au moulin.

 

Prenons par provocation plusieurs scenarii:

 

1) On ne décide de rien, « démerdez vous »!

Réaction, « bande de nuls, vous allez voir ce que l'on sait faire »!

 

2) On se limite à de belles intentions, allez, on vous donne un os, objectif 2°!

Réaction, « petits bras », on va vous montrer que l'on peut avoir de plus grandes ambitions!

 

3) On décide que la science et la techno ont les capacités de le faire, on se prend une grande claque, « on nettoie tout » dans les meilleurs délais, on décide que d'ici 10 ans, on peu réduire à zéro l'influence de l'homme sur le dérèglement climatique.

Réaction, woaw, le P..... de challenge! Comme l'homme sur la lune, on ne savait pas que c'était impossible, alors on l'a fait....

 

Comme vous voyez, toutes les interactions sont possibles, mais ce seront les acteurs qui feront ou non l'avenir, pas les parleurs.

 

Alors, hardi petits!

Et n'attendez rien des autres qu'à la proportion de ce que vous aurez vous même porté.

 

 

Cop21, économie 3D, El Nino

Par Le 03/12/2015

Prenons le temps de la réflexion...

   Nous sommes en pleine #Cop21 et comme à toute période de forte communication, les avis les plus divers, parfois opposés se diffusent de manière massive voire désordonnée.

Ayant la chance de pouvoir, de par ma position professionnelle en pleine évolution, avoir un certain recul sur ces publication, je désire vous faire bénéficier de mon point de vue synthétique de la situation globale de notre société humaine au sein d'un mileu naturel perturbé.

Le débat à la #Cop21 est à comprendre tant à la fois des enjeux et des acteurs présents.

Cette conférence réunit les décideurs politiques afin de définir une stratégie, un "plan" au niveau politique.

Ce n'est pas un salon des solutions de terrain, même si certaines sont présentées en marges de l'évennement.

Donc, quelle que soient les décisions prises au plus haut niveau des états, ce ne sera qu'un maillon d'un ensemble global d'actions à tous les niveaux de nos sociétés, en allant de l'individu/consommateur/acteur jusqu'aux choix d'entreprise, associations ou tout autre groupe humain.

 

Nous savons tous que les médias publieront, suivant leur orientations, des bilans mitigés sur cette conférence, car, suivant leur (notre?) subjectivité, il y aura toujours à redire.

La faute à notre désir de voir nos élites décider ce qui est le meilleur pour nous, par délégation de pouvoir, une recherche contradictoire entre une certaine forme de recherche de l'image du père et cela en parfaite contradiction avec notre déisr de démocratie, de liberté de choix.

Le débat sur l'inflence ou non de l'homme sur le dérèglement climatique n'est plus d'actualité.

Les conséquences de ce dérèglement sont là et il faut voir comment s'en prémunir.

Le phénomène #ElNino a cette année une ampleur inhabituelle et cela ne sera pas sans conséquences pour les semaines et les mois à venir, les prémices sont déjà visibles, pluies intenses après des sécheresses record en Inde et aux Etats-Unis par ex.

Retenons que pour nos sociétés modernes et mécanisées, les besoins primordiaux sont de plus en plus l'accès à l'eau et à l'énergie de la manière la plus stable qui soit.

Des sécheresses ou des pluies diluviennes sont des dangers.

La production erratique d'énergie sollicite les réseaux de distribution de toutes tailles.

Pourtant les gisements et les stocks infinis à l'échelle humaine sont là; il suffit de les mettre en perspectives grace à l'usage de bon sens.

L'eau suit un cyle qui assure la disponibilité de gisemnts. L'eau potable en est la rsultante. L'eau de mer, 70% de la surface du globe est la mine. Le traitement est le produit fini.

Donc il s'agit de structurer le process de transformation d'un matériau de base en produit fini, adapté au mileu où l'on se trouve.

C'est pour cela que je développe deux procédés, une décantation thermique basse pression et un filière azote liquide qui est à la fois source d'énergie verte 24/24 et de production d'eau par condensation en parallele.

Pour l'énergie décarbonnée, nous le savons de longue date, l'énergie solaire est à même de fournir mille fois nos besoins.

C'est d'ailleurs ce qui me fait dire que nous ne sommes pas dans un lilieu fini, puisque nous bénéficions de cet apport extérieur.

Et l'énergie est la base de toute transformation.

Le challenge est donc dans la conversion optimale de cette source primaire, rayonnements multiples, en leviers de performances.

La production industrielle classique est une gabegie technologique.

Mais de nouveaux outils tels que la production de mode addictif les imprimantes 3D par ex. permettent la réalisation de biens au plus près du consommateur avec l'usage raisonné des matériaux et de l'énergie nécessaire.

Ce n'est que la reformulation de techniques ancestrales.

Autrefois, on construisait avec les matériax disponibles, briques d'argile, pisé etc... Il n'y avait pas de déchets.

Le BTP, avec la production dans des fours géants et énergivores de ciment, est le premier producteur de CO² dans le monde.

Mais comme les gisements de sable se raréfie, nous risquons de ne plus faire de béton dans un proche avenir...

C'est pour cela que j'ai conçu ma dévoreuse de désert.

Ce sable a envahi des surfaces inimaginables de terres cultivable à travers les siècles. Les égyptiens vivaient jadis, les illustrations de la période pharaonique en témoignent, dans un savane.

Le Sahara, en 50 ans seulement a recouvert plus que la surface de la France métropolitaine.

Valoriser le sable pour les besoins locaux et l'exportation vers les pays en besoins (reconstitution de plages et de digues par ex.) finance la lutte contre la désertification, le reverdissement de territoire "miroirs" du réchauffement climatique, la stabilisation de populations locales par la création de leviers économiques positifs.

Et cela peut se faire sans consommation de carburants fossiles.

Les matières premières au niveau miniers s'épuisent. Mais, à force de les exploiter ici et là pour nous apporter des produits finis en nos territoires ne disposant pas de ces ressources à modifié la répartition des gisements. "Rien ne se crée, rien ne se perd", nos poubelles sont les mines de demain.

Extrayons nos résidus, nous sommes sur des mines d'or virtuelles.

Synthétisons les matières transformées en nouvelles matières premières, utilisons les mode additif pour refaire de nouveaux objets pour ne pas avoir de résidus à recycler, ces process fonctionnant aisément sur des sources électriques, sans émission de CO².

Plus ou moins d'outils de coupe, efficacité du cycle industriel, production localisé, donc emplois pour tous.

La nature, rappelons le, est le labo de R&D le plus ancien, 5 milliards d'années!

Les travaux largement diffusés et pourtant pas assez lus, a démontré la puissance fabuleuse de modestes acteurs naturels.

Les bactéries, les micro-algues, certains fungus ont la capacité de produire rapidement, très rapidement, les constituants de base de nos besoins. Dépolluants de tous indésirables, hydrocarbures répandus, molécules complexes (métaux lourds...), bases alimentaires....

Ceratins même nous offrent des possibilités que l'on néglige, leur culture se fait par photosynthèse, donc émission d'oxygène, capture du CO².

Le CO², parlons-en!

Sa capture est un challenge, pas un problème.

Sa valorisation est un tremplin psychologique séduisant.

Production de graphène pour le stockage de l'énergie de manière compate et efficace, création de diamants artificiels pour des usages industriels, nanoparticules pour des constructions antisismiques....

La captation peut se faire par "simple" aspiration, sa transformation peut se faire à faible coût, son impact positif peut être rapide.

Bref, nous pouvons nettoyer les traces de deux siècles de société industrielle anarchique tout en générant une croissance économique idéalement répartie du la terre entière.

Les aléas météos peuvent être limités dans leurs impacts.

Construction:

Les yourtes, les tipis résistent mieux aux contraintes météo que nos constructions classiques, cubiques, pourquoi?

La forme circulaire est une évidence, le vent s'enrouel, contourne l'obstable, les surfaces planes sont des voiles à effets destructifs.

Lors des tempêtes aux USA, les rares constructions qui ont résisté étaient arondies.

De même, lors des incendies en Californies, les maisons rondes n'ont pas brulé, le flux laminaire a crée une "peau" protectrice.

Donc, s'inspirer modestement des héritages ancestraux, du biomimétisme est une solution qui nous pique les yeux par son évidence.

J'ai un grand espoir en l'avenir, j'ai conçu des logiques techniques pour le nourrir.

Soyons au rendez-vous de l'histoire.

Merci.

Graphene, graphène...

Par Le 01/02/2015

Hello, bonjour!

   Des idées vont et viennent, flottant dans l'air.

Les nanotechnologies ont le vent en poupe. Les modes de production tels que les imprimantes 3D ont lancé des principes majeurs du type produire avec juste ce qu'il faut de matériau, jusqu'à l'usage de briques élémentaires telles que le carbone.

D'où la naissance et le progrès fulgurant du graphène.

Puisque ce domaine "touche" tous ces sujets émergeants.

D'où mon absence de ce blog, pour cause d'autoformation, d'assimilation de ces savoirs, de leur projection sur les domaines de production en masse et usages divers.

Je renonce donc à m'excuser de ma faible activité sur ce blog, comme on dit, "c'est pour la bonne cause"!
A+
Bon dimanche à tous...

Théorie des évolutions multiples

Par Le 30/11/2014

Actus en vrac...

   Pour un esprit rigoureux et cartésien, ma vie serait une pure folie.

D'un coté, ma créativité est optimale, mon calendrier est chargé, gestion des contacts après ma conférence, mes publications, des rencontres de qualité ici et là, d'un autre, je trouve pour autant que les choses ne vont jamais assez vite!

Le projet Azergy a de la séduction, mais il manque le petit élément déclenchant qui fera passer la surmultipliée!

Je reprends pendant ce temps là d'autres idées en cours de développement dont ma turbine encapsulée à cycle long (enroulement sup à 360°).

Je continue comme toujours mes revues de presse et mon autoformation et, conjointement, mon activité professionnelle "classique".

Par chance, elle s'oriente de plus en plus, dans les jours et semaines à venir, vers des actions plus "high tech", passage à un v.e. pour la logistique, et au smartphone comme outil de travail, scan d'objets, traitement on line de l'activité etc...

Bref, je suis des plus actifs sur le terrain, d'où mon absence "régulière" sur ce blog!

Je n'ai, finalement, qu'une crainte, arriver en période de fin d'année, et son ralentissement provoqué par la période des fêtes et les congés qui les accompagnent!

Donc, si vous êtes tentés pour que nous collaborions ensemble, ne tardez pas!

Entreprises, chasseurs de têtes, come on!

Mais, alors, pourquoi ce titre?

Tout simplement parce que je vois bien que mon parcours se fait sur de multiples axes, plus ou moins imbriqués l'un dans l'autre et que, finalement, ce n'est que le reflet de notre société où la polyvalence est la solution aux trajectoires personnelles et professionnelles, la passion l'emportant sur une éventuelle fatigue, l'usure venant plus du déplaisir que du travail réel.

Trop de gens s'ennueint et s'usent à "tirer leurs journées", alors que, de mon coté, je cherche en permanence les challenges et les nouveaux savoirs.

Heureux, donc!

J'aime Facebook

Par Le 19/10/2014

FB un accélérateur de particules?

  Si certains disent dans des pubs "j'aime ma banque", je joue le même jeu avec mon titre. Second degré.

En cette période où il est de bon ton de critiquer pour se justifier, se donner une pseudo-importance, je joue le "judo mental" et je positive ce qui peut l'être.

Ce qui n'influe en rien un sens critique nécessaire pour autant. Mais en cette période, progressent les constructifs.

Donc, que justifie mon affect actuel sur Facebook?

Dans la méthodologie de la conception, croiser les opinions, les savoirs, faire du brainstorming à toute heure, en tout lieu, avec des partenaires proches ou très éloignés, Internet le permet. Donc Fb.

Cerveau activite homme

Quand vous développez de la communication avec vos "amis Fb", vos concepts passent très rapidement d'une arborescence en 2D à une pensée 3D, aux liens multiples et denses, plus proches du système physique du cerveau. Mises en perspectives, analyses croisées, réponses originales ET pertinentes, c'est une vision des choses à la fois forte et cruelle du projet de base, qui devient vivant, actif, implacable de justesse.

J'aime.

Remise en cause des savoirs, besoin immédiat d'améliorer ses compétences pour une respectabilité intellectuelle personnelle.

L'enjeu est énorme et primordial.
je recommande fortement à chacun de se tenir ce discours pour être satisfait pleinement de son propre travail, car, ainsi, les problèmatiques deviennent des challenges, les épreuves deviennent jeux, l'effort devient plaisir.

Bonne journée à tous!

A fond les manettes!

Par Le 16/10/2014

Débordé! Et c'est tant mieux!

   Je reviens!

Ces dernières semaines sont de pures périodes de folie. Mon travail salarié est assez prenant mais ce n'est pas la raison principale de mon absence.

Non, en réalité, c'est mes projets de novembre prochain qui m'ont éloigné de ce blog.

En trois jours, je dois assurer à la fois une session de formation sur les tablettes et smartphone sur toute une journée, sur la base de rencontres d'environ 20/30 minutes ciblée grand-public et, aussi, une conférence de quatre heures sur les ENR cette fois-ci à un public d'élèves ingénieurs de l'Université de Tours.

Comme je veux en profiter pour rendre ce dernier support de communication dynamique, il me faut faire un travail de fond. Réunir les dernières informations disponibles, réaliser une analyse détaillée sur cet univers si diffus (quelle énergie finale, quelle source d'origine, quelle acceptation de la part des diverses populations, cycles économiques etc...) pour faire que les ENR soient « intelligibles ».

Le but final étant de présenter mes propres propositions et voir si elles peuvent trouver un accueil favorable en vue d'une expertise/développement à très court terme.

Donc, la partie finale est conséquence du travail en amont, crédibilité oblige.

D'où mon absence sur ce blog.

Ce qui n'a pas interdit une consultation régulière si je dois me fier aux statistiques de fréquentation toujours élevées.

Le fait de rassembler, structurer de manière optimale ma pensée a eu d'autres avantages.

J'ai mieux structuré ma stratégie, et, de là, défini plus précisément mon calendrier des actions futures.

Telles des pièces détachées d'un kit industriel, j'ai conforté l'idée que je dois trouver de multiples acteurs économiques pour autant d'innovations différentes mais, pour autant, imbriquées les unes aux autres pour une stratégie globale qui touche au niveau macro-économique à des domaines extrêmement variés.

Je me trouve à impacter l'industrie de l'énergie (thermique, électrique...), l'industrie nautique, minière, la dépollution des mers, la conversion d'outils industriels, l'agriculture etc...

Ce qui est un peu dur à gérer pour une seule personne, vous l'admettrez!

Il est vrai que lorsque notre économie tournait, globalement, autour du pétrole, les choses étaient plus simples. La pollution était « secondaire », la chimie et les transport étaient satisfaites d'un approvisionnement simpliste.

Aujourd'hui la partie est plus complexe. On passe de la belotte aux tarots.

J'entends par là que les cartes sont plus nombreuses, les combinaisons augmentent de manière exponentielles.

Donc, être à la fois capable d'analyser et aussi de proposer des actions directes n'est pas aisé. Mais c'est mon ambition. Se limiter à donner des leçons n'apporte pas grand-chose. Proposer des idées qui ne reposent pas sur une vision réaliste de la situation actuelle et future est suicidaire.

La synthèse que je fais, et je simplifie à outrance, est celle-ci:

Nous sommes au sein d'un milieu fini, la Terre.

Durant des siècles, nous avons « tapé » dans les réserves avec gourmandise.

Foré, gratté, creusé, transporté, transformé...

Aujourd'hui, les réserves sont ou très réduites ou très coûteuses à exploiter.

Nos décharges, elles, regorgent du fruit de notre travail antérieur.

Lavoisier va nous être utile pour illustrer mon propos.

Rien ne se crée etc...

Donc, pour les matériaux, forcément, il faudra absolument fouiller dans nos poubelles pour récupérer les métaux, minéraux etc... avec l'avantage que ces gisements sont locaux, donc pour le plus grand bénéfice de nos balances commerciales.

Deux, le soleil, sous forme de photons, chaleur, flux des vents etc... est la solution à un milieu fini puisqu'il s'agit d'un apport extérieur!

L'hydrogène, sous forme simple ou combinée est une molécule capitale de notre avenir, de par sa disponibilité incroyable et ses capacités multiples.

Donc, l'avenir est radieux, et pour le faire émerger, il y a du travail pour énormément de personnes qualifiées ou non.

Une conclusion optimiste et non béate sera la brève chute de ce billet, le développement global étant réservé à ma conférence du 10/11 prochain.

Je ne sais pas si elle sera filmée et diffusée, si elle plaira, mais je travaille dessus comme un forcené et je suis hyper motivé, déterminé.

Voilà, c'est dit.

A+!

Réflexions sur le système HHO

Par Le 30/08/2014

L'eau de mer, source de la transition énergétique?
 
   Vous le savez, parmi les différents axes de travail que j'exploite, il y a le système HHO ou électrolyse basse consommation.
Pour les petits nouveaux qui nous rejoignent, la particularité de ce concept est que l'on ne cherche pas à séparer l'oxygène de l'hydrogène à travers deux espaces séparés, ce qui oblige à éloigner les électrodes, source d'une grande consommation d'énergie.
Non, on veut juste casser les molécules d'eau, produire un gaz et le consommer immédiatement, avant que ces deux parties ne se recombinent.
L'hydrogène est un excellent carburant (3x plus énergétique que les hydrocarburants) et l'oxygène est un comburant, qui permet donc une combustion du carburant (essayez donc de faire brûler une bougie dans un espace sans oxygène!).
Adapté à mon automobile, j'ai pu constater que, sur de longs trajets, même à grande vitesse, ma consommation d'essence descendait 
alors que je n'ai pas modifié l'électronique de gestion.
Mais, et c'est en échangeant avec un ami hier soir (merci Alexis Greff), que m'est venu à l'esprit un détail que j'avais négligé:
En franchissant le Massif Central, je n'ai pas perdu en puissance, alors que mon moteur n'est qu'un petit 1.1l.
En effet, produisant de l'oxygène, j'apporte à mon moteur le comburant qui peut me manquer en altitude.
Ainsi, on peut considérer que cette filière HHO peut aider les populations en altitude pour leurs besoins en énergie, électricité, chauffage, via un système thermique à haute performance (combustion optimale), à priori sans émission de co² (il faudrait analyser ce qui sort de la combustion de cette "eau").
En plus, son stockage, sa logistique est plus sécurisante que nos carburants classiques.
Hors tension électrique, ce "carburant" n'est que de l'eau!
Si une citerne se renverse, déversant son contenu, pas de pollution, une grosse flaque sera le seul désagrément....
Je pourrais développer plus, mais cela deviendrait vite barbant!
Par contre, les commentaires et objections, que vous pourriez apporter pour nourrir le débat sont les bienvenus et j'y répondrai avec plaisir...
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