détournement d'idée

Je passe en vitesse pour donner des nouvelles....

Par Le 09/09/2016

Bonjour à tous!

 

Je suis (beaucoup) moins présent sur ce blog, navigant plus sur FB et autres (LinkedIn, YouTube et consors).
(Vous savez donc où me retrouver si vous le désirez)

Les travaux sur le solaire ont été un peu décevant, par erreur d'organisation de ma part, je le concède.

Ma priorité de ces derniers jours a été à nouveau sur l'usage de l'azote liquide à des fins de transition énergétique au sens large.
Je vous fournis les liens texte et vidéo, pour vous sensibiliser :

https://www.linkedin.com/pulse/apr%C3%A8s-l%C3%A9conomie-carbone-azote-jean-marc-doniat?trk=mp-author-card

 

Amusez-vous bien et à bientôt !

Bientôt la fin?

Par Le 30/04/2016

  Ne vous inquiétez  pas du titre!

Une profonde transition professionnelle va peut-être faire que ce blog n'aura plus lieu d'être.

Pages consacrées à un rêve, créer ma structure officielle, constituer une équipe, des partenariats sur des concepts réfléchis depuis belle lurette, ces pages doivent se conclure un jour, et, chance, sur une réalité.

Au fil du temps, des liens solides se sont tissés avec des institutions, des personnes, une ébauche de coordination est née, BCDGK Synergies.

Maintenant, ce bébé va marcher de manière autonome.

Le nom définitif n'est pas encore choisi, mais les projets et objectifs sont là.

Ce billet est rédigé pour remercier tous ceux qui m'ont lu, suivi, malgré de longues absences dans mes publications.

Il y aura une suite, je vous en parlerai avant de conclure définitivement ce blog.

Ce n'est pas une disparition, c'est une mutation, la fin de la chenille, le papillon apparaît....

Merci!

Cop21, économie 3D, El Nino

Par Le 03/12/2015

Prenons le temps de la réflexion...

   Nous sommes en pleine #Cop21 et comme à toute période de forte communication, les avis les plus divers, parfois opposés se diffusent de manière massive voire désordonnée.

Ayant la chance de pouvoir, de par ma position professionnelle en pleine évolution, avoir un certain recul sur ces publication, je désire vous faire bénéficier de mon point de vue synthétique de la situation globale de notre société humaine au sein d'un mileu naturel perturbé.

Le débat à la #Cop21 est à comprendre tant à la fois des enjeux et des acteurs présents.

Cette conférence réunit les décideurs politiques afin de définir une stratégie, un "plan" au niveau politique.

Ce n'est pas un salon des solutions de terrain, même si certaines sont présentées en marges de l'évennement.

Donc, quelle que soient les décisions prises au plus haut niveau des états, ce ne sera qu'un maillon d'un ensemble global d'actions à tous les niveaux de nos sociétés, en allant de l'individu/consommateur/acteur jusqu'aux choix d'entreprise, associations ou tout autre groupe humain.

 

Nous savons tous que les médias publieront, suivant leur orientations, des bilans mitigés sur cette conférence, car, suivant leur (notre?) subjectivité, il y aura toujours à redire.

La faute à notre désir de voir nos élites décider ce qui est le meilleur pour nous, par délégation de pouvoir, une recherche contradictoire entre une certaine forme de recherche de l'image du père et cela en parfaite contradiction avec notre déisr de démocratie, de liberté de choix.

Le débat sur l'inflence ou non de l'homme sur le dérèglement climatique n'est plus d'actualité.

Les conséquences de ce dérèglement sont là et il faut voir comment s'en prémunir.

Le phénomène #ElNino a cette année une ampleur inhabituelle et cela ne sera pas sans conséquences pour les semaines et les mois à venir, les prémices sont déjà visibles, pluies intenses après des sécheresses record en Inde et aux Etats-Unis par ex.

Retenons que pour nos sociétés modernes et mécanisées, les besoins primordiaux sont de plus en plus l'accès à l'eau et à l'énergie de la manière la plus stable qui soit.

Des sécheresses ou des pluies diluviennes sont des dangers.

La production erratique d'énergie sollicite les réseaux de distribution de toutes tailles.

Pourtant les gisements et les stocks infinis à l'échelle humaine sont là; il suffit de les mettre en perspectives grace à l'usage de bon sens.

L'eau suit un cyle qui assure la disponibilité de gisemnts. L'eau potable en est la rsultante. L'eau de mer, 70% de la surface du globe est la mine. Le traitement est le produit fini.

Donc il s'agit de structurer le process de transformation d'un matériau de base en produit fini, adapté au mileu où l'on se trouve.

C'est pour cela que je développe deux procédés, une décantation thermique basse pression et un filière azote liquide qui est à la fois source d'énergie verte 24/24 et de production d'eau par condensation en parallele.

Pour l'énergie décarbonnée, nous le savons de longue date, l'énergie solaire est à même de fournir mille fois nos besoins.

C'est d'ailleurs ce qui me fait dire que nous ne sommes pas dans un lilieu fini, puisque nous bénéficions de cet apport extérieur.

Et l'énergie est la base de toute transformation.

Le challenge est donc dans la conversion optimale de cette source primaire, rayonnements multiples, en leviers de performances.

La production industrielle classique est une gabegie technologique.

Mais de nouveaux outils tels que la production de mode addictif les imprimantes 3D par ex. permettent la réalisation de biens au plus près du consommateur avec l'usage raisonné des matériaux et de l'énergie nécessaire.

Ce n'est que la reformulation de techniques ancestrales.

Autrefois, on construisait avec les matériax disponibles, briques d'argile, pisé etc... Il n'y avait pas de déchets.

Le BTP, avec la production dans des fours géants et énergivores de ciment, est le premier producteur de CO² dans le monde.

Mais comme les gisements de sable se raréfie, nous risquons de ne plus faire de béton dans un proche avenir...

C'est pour cela que j'ai conçu ma dévoreuse de désert.

Ce sable a envahi des surfaces inimaginables de terres cultivable à travers les siècles. Les égyptiens vivaient jadis, les illustrations de la période pharaonique en témoignent, dans un savane.

Le Sahara, en 50 ans seulement a recouvert plus que la surface de la France métropolitaine.

Valoriser le sable pour les besoins locaux et l'exportation vers les pays en besoins (reconstitution de plages et de digues par ex.) finance la lutte contre la désertification, le reverdissement de territoire "miroirs" du réchauffement climatique, la stabilisation de populations locales par la création de leviers économiques positifs.

Et cela peut se faire sans consommation de carburants fossiles.

Les matières premières au niveau miniers s'épuisent. Mais, à force de les exploiter ici et là pour nous apporter des produits finis en nos territoires ne disposant pas de ces ressources à modifié la répartition des gisements. "Rien ne se crée, rien ne se perd", nos poubelles sont les mines de demain.

Extrayons nos résidus, nous sommes sur des mines d'or virtuelles.

Synthétisons les matières transformées en nouvelles matières premières, utilisons les mode additif pour refaire de nouveaux objets pour ne pas avoir de résidus à recycler, ces process fonctionnant aisément sur des sources électriques, sans émission de CO².

Plus ou moins d'outils de coupe, efficacité du cycle industriel, production localisé, donc emplois pour tous.

La nature, rappelons le, est le labo de R&D le plus ancien, 5 milliards d'années!

Les travaux largement diffusés et pourtant pas assez lus, a démontré la puissance fabuleuse de modestes acteurs naturels.

Les bactéries, les micro-algues, certains fungus ont la capacité de produire rapidement, très rapidement, les constituants de base de nos besoins. Dépolluants de tous indésirables, hydrocarbures répandus, molécules complexes (métaux lourds...), bases alimentaires....

Ceratins même nous offrent des possibilités que l'on néglige, leur culture se fait par photosynthèse, donc émission d'oxygène, capture du CO².

Le CO², parlons-en!

Sa capture est un challenge, pas un problème.

Sa valorisation est un tremplin psychologique séduisant.

Production de graphène pour le stockage de l'énergie de manière compate et efficace, création de diamants artificiels pour des usages industriels, nanoparticules pour des constructions antisismiques....

La captation peut se faire par "simple" aspiration, sa transformation peut se faire à faible coût, son impact positif peut être rapide.

Bref, nous pouvons nettoyer les traces de deux siècles de société industrielle anarchique tout en générant une croissance économique idéalement répartie du la terre entière.

Les aléas météos peuvent être limités dans leurs impacts.

Construction:

Les yourtes, les tipis résistent mieux aux contraintes météo que nos constructions classiques, cubiques, pourquoi?

La forme circulaire est une évidence, le vent s'enrouel, contourne l'obstable, les surfaces planes sont des voiles à effets destructifs.

Lors des tempêtes aux USA, les rares constructions qui ont résisté étaient arondies.

De même, lors des incendies en Californies, les maisons rondes n'ont pas brulé, le flux laminaire a crée une "peau" protectrice.

Donc, s'inspirer modestement des héritages ancestraux, du biomimétisme est une solution qui nous pique les yeux par son évidence.

J'ai un grand espoir en l'avenir, j'ai conçu des logiques techniques pour le nourrir.

Soyons au rendez-vous de l'histoire.

Merci.

Une brève...

Par Le 09/09/2015

Je ne fais que passer...

 

   Ayant à gérer plusieurs pages différentes, je n'ai plus trop le temps d'alimenter ce blog, et, de plus, tout ce que je pourrais avoir à publier risquant fort d'être sous le coup de secret technologique, je me fais rare!

 

Alors, pour me faire pardonner, cadeau, une vidéo sans façon, une prise, pas de montage....

I'm back!

Par Le 21/08/2015

Chers amis, bonjour!

 

      Me voici de retour!

De longues semaines sans publier est une faute grave. Publier n'importe quoi serait idiot. D'où mon absence.

Mais, aujourd'hui, j'ai la joie de vous raconter de bien belles choses.

Je suis présent sur les projets de la future Cop21http://votreenergiepourlafrance.fr/nouvelle-generatrice-verte-stirling-hyperfroid-9224/

Ce même projet, ainsi que trois autres sont "pris en charge" par un architecte de renom qui va présenter ces "bébés" à des partenaires potentiels.

Je fus l'objet d'un reportage dans la presse locale, et cela m'a permis d'obtenir une, voire plusieurs conférences à présenter dans les jours qui viennent: 

http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite/Environnement/n/Contenus/Articles/2015/07/21/Un-drole-de-fou-pensant-2410062

Bref, je n'arrête pas, et ce n'est qu'un début, donc je suis très heureux en pleine forme!

A bientôt!

Concept global

Par Le 11/04/2015

Transition énergétique et industrielle.

  A force de collecter des informations de tous horizons et de songer à l'actualité économique dont on ne désespère pas de voir le contexte s'améliorer, je me suis dit, comment conjuguer les besoins en énergie d'une population, contribuer à la relance de l'emploi, tout en procurant l'un et l'autre au plus près des lieux de vie, tout en assurant la sécurité des lieux?...

   Pour la production d'énergie, l'électricité issue de filière 0% carbone est un objectif. Mais, pour les déplacements, le carburant liquide semble encore nécessaire pour un certain temps.

Alors, j'ai conçu un environnement productif qui allie de nombreux avantages:

En valorisant des structures industrielles (proches des villes, donc des résidents) en déclin, on peut en faire des sites de production conjointe d'électricité "verte" (éoliennes, panneaux solaires etc...) en usant des effets des bâtis (toitures pour le solaire, reliefs et angles pour l'éolien), l'intérieur servant de "cave" pour cultiver des micro algues.

En effet, ces algues ont besoin de CO² pour se développer, et où sont les "gisements"? En ville!

Ces algues ont de multiples usages, carburant, cosmétique et même bitumes.

On n'a donc pas besoin de terres nouvelles pour les cultiver, des silos suffisent.

Le reste de la structure apportera l'énergie nécessaire pour cet "élevage" (calories, pompes etc...), et, en s'y prenant bien, suivant les saisons, les matériels utilisés produiront plus que nécessaire, d'où C.A. par la revente de cette énergie au plus près des consommateurs, pas de pertes de transport.

Cela créera des emplois, de tous niveaux, à proximité des lieux de résidence, moins de déplacements, voire des systèmes de transports collectifs électriques proposés à tous.

Je n'en dis pas plus, je reste à la disposition d'acteurs économiques pour plus de développement, sous forme de consulting, portage salarial...

Vous savez ce qu'il vous reste à faire, y penser, me contacter, évaluer les potentiels....

A+

Graphene, graphène...

Par Le 01/02/2015

Hello, bonjour!

   Des idées vont et viennent, flottant dans l'air.

Les nanotechnologies ont le vent en poupe. Les modes de production tels que les imprimantes 3D ont lancé des principes majeurs du type produire avec juste ce qu'il faut de matériau, jusqu'à l'usage de briques élémentaires telles que le carbone.

D'où la naissance et le progrès fulgurant du graphène.

Puisque ce domaine "touche" tous ces sujets émergeants.

D'où mon absence de ce blog, pour cause d'autoformation, d'assimilation de ces savoirs, de leur projection sur les domaines de production en masse et usages divers.

Je renonce donc à m'excuser de ma faible activité sur ce blog, comme on dit, "c'est pour la bonne cause"!
A+
Bon dimanche à tous...

New concept, nouvelle idée...

Par Le 26/12/2014

Les derniers détournements de technologies...

  En lisant les actualités, j'ai appris que la Californie subissait la pire sècheresse depuis 1 200 ans...

Donc, les réservoirs sont vides, la crise est de plus en plus violente.

D'un autre coté, cet état est proche de la mer, donc, à priori, la solution est toute trouvée. Sauf que les techniques actuelles de dessalinisation sont

très énergivores.

Que faire? Je vous ai déjà parlé des systèmes d'électrolyse basse consommation pour créer un carburant économique:

CleardrycellAvec une faible alimentation électrique (12 v 5A) on peut casser les molécules d'eau pour séparer l'hydrogène de l'oxygène.

Cela semble plus efficace que de chauffer un bain.

L'eau de mer étant naturellement salée, le système marche très bien (pour l'avoir testé).

Donc, une dessalisation par ce biais pourrait être un principe efficace, l'énergie utile en amont peut tout aussi bien être photovoltaïque, mais aussi éolienne, mais, de mon coté, j'envisage plutôt un apport par turbines marémotrices, plus constantes, pour une production 24/24.

L'expérimentation en laboratoire est facile.

On crée cette electrolyse dans un volume fermé, on voit quelle condensation on peut générer, et on fait le ratio pour voir le coût d'un tel concept...

Je le sens bien ce truc...

A+

C'est mon cad'eau de Noël!

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