économies

Cop21, économie 3D, El Nino

Par Le 03/12/2015

Prenons le temps de la réflexion...

   Nous sommes en pleine #Cop21 et comme à toute période de forte communication, les avis les plus divers, parfois opposés se diffusent de manière massive voire désordonnée.

Ayant la chance de pouvoir, de par ma position professionnelle en pleine évolution, avoir un certain recul sur ces publication, je désire vous faire bénéficier de mon point de vue synthétique de la situation globale de notre société humaine au sein d'un mileu naturel perturbé.

Le débat à la #Cop21 est à comprendre tant à la fois des enjeux et des acteurs présents.

Cette conférence réunit les décideurs politiques afin de définir une stratégie, un "plan" au niveau politique.

Ce n'est pas un salon des solutions de terrain, même si certaines sont présentées en marges de l'évennement.

Donc, quelle que soient les décisions prises au plus haut niveau des états, ce ne sera qu'un maillon d'un ensemble global d'actions à tous les niveaux de nos sociétés, en allant de l'individu/consommateur/acteur jusqu'aux choix d'entreprise, associations ou tout autre groupe humain.

 

Nous savons tous que les médias publieront, suivant leur orientations, des bilans mitigés sur cette conférence, car, suivant leur (notre?) subjectivité, il y aura toujours à redire.

La faute à notre désir de voir nos élites décider ce qui est le meilleur pour nous, par délégation de pouvoir, une recherche contradictoire entre une certaine forme de recherche de l'image du père et cela en parfaite contradiction avec notre déisr de démocratie, de liberté de choix.

Le débat sur l'inflence ou non de l'homme sur le dérèglement climatique n'est plus d'actualité.

Les conséquences de ce dérèglement sont là et il faut voir comment s'en prémunir.

Le phénomène #ElNino a cette année une ampleur inhabituelle et cela ne sera pas sans conséquences pour les semaines et les mois à venir, les prémices sont déjà visibles, pluies intenses après des sécheresses record en Inde et aux Etats-Unis par ex.

Retenons que pour nos sociétés modernes et mécanisées, les besoins primordiaux sont de plus en plus l'accès à l'eau et à l'énergie de la manière la plus stable qui soit.

Des sécheresses ou des pluies diluviennes sont des dangers.

La production erratique d'énergie sollicite les réseaux de distribution de toutes tailles.

Pourtant les gisements et les stocks infinis à l'échelle humaine sont là; il suffit de les mettre en perspectives grace à l'usage de bon sens.

L'eau suit un cyle qui assure la disponibilité de gisemnts. L'eau potable en est la rsultante. L'eau de mer, 70% de la surface du globe est la mine. Le traitement est le produit fini.

Donc il s'agit de structurer le process de transformation d'un matériau de base en produit fini, adapté au mileu où l'on se trouve.

C'est pour cela que je développe deux procédés, une décantation thermique basse pression et un filière azote liquide qui est à la fois source d'énergie verte 24/24 et de production d'eau par condensation en parallele.

Pour l'énergie décarbonnée, nous le savons de longue date, l'énergie solaire est à même de fournir mille fois nos besoins.

C'est d'ailleurs ce qui me fait dire que nous ne sommes pas dans un lilieu fini, puisque nous bénéficions de cet apport extérieur.

Et l'énergie est la base de toute transformation.

Le challenge est donc dans la conversion optimale de cette source primaire, rayonnements multiples, en leviers de performances.

La production industrielle classique est une gabegie technologique.

Mais de nouveaux outils tels que la production de mode addictif les imprimantes 3D par ex. permettent la réalisation de biens au plus près du consommateur avec l'usage raisonné des matériaux et de l'énergie nécessaire.

Ce n'est que la reformulation de techniques ancestrales.

Autrefois, on construisait avec les matériax disponibles, briques d'argile, pisé etc... Il n'y avait pas de déchets.

Le BTP, avec la production dans des fours géants et énergivores de ciment, est le premier producteur de CO² dans le monde.

Mais comme les gisements de sable se raréfie, nous risquons de ne plus faire de béton dans un proche avenir...

C'est pour cela que j'ai conçu ma dévoreuse de désert.

Ce sable a envahi des surfaces inimaginables de terres cultivable à travers les siècles. Les égyptiens vivaient jadis, les illustrations de la période pharaonique en témoignent, dans un savane.

Le Sahara, en 50 ans seulement a recouvert plus que la surface de la France métropolitaine.

Valoriser le sable pour les besoins locaux et l'exportation vers les pays en besoins (reconstitution de plages et de digues par ex.) finance la lutte contre la désertification, le reverdissement de territoire "miroirs" du réchauffement climatique, la stabilisation de populations locales par la création de leviers économiques positifs.

Et cela peut se faire sans consommation de carburants fossiles.

Les matières premières au niveau miniers s'épuisent. Mais, à force de les exploiter ici et là pour nous apporter des produits finis en nos territoires ne disposant pas de ces ressources à modifié la répartition des gisements. "Rien ne se crée, rien ne se perd", nos poubelles sont les mines de demain.

Extrayons nos résidus, nous sommes sur des mines d'or virtuelles.

Synthétisons les matières transformées en nouvelles matières premières, utilisons les mode additif pour refaire de nouveaux objets pour ne pas avoir de résidus à recycler, ces process fonctionnant aisément sur des sources électriques, sans émission de CO².

Plus ou moins d'outils de coupe, efficacité du cycle industriel, production localisé, donc emplois pour tous.

La nature, rappelons le, est le labo de R&D le plus ancien, 5 milliards d'années!

Les travaux largement diffusés et pourtant pas assez lus, a démontré la puissance fabuleuse de modestes acteurs naturels.

Les bactéries, les micro-algues, certains fungus ont la capacité de produire rapidement, très rapidement, les constituants de base de nos besoins. Dépolluants de tous indésirables, hydrocarbures répandus, molécules complexes (métaux lourds...), bases alimentaires....

Ceratins même nous offrent des possibilités que l'on néglige, leur culture se fait par photosynthèse, donc émission d'oxygène, capture du CO².

Le CO², parlons-en!

Sa capture est un challenge, pas un problème.

Sa valorisation est un tremplin psychologique séduisant.

Production de graphène pour le stockage de l'énergie de manière compate et efficace, création de diamants artificiels pour des usages industriels, nanoparticules pour des constructions antisismiques....

La captation peut se faire par "simple" aspiration, sa transformation peut se faire à faible coût, son impact positif peut être rapide.

Bref, nous pouvons nettoyer les traces de deux siècles de société industrielle anarchique tout en générant une croissance économique idéalement répartie du la terre entière.

Les aléas météos peuvent être limités dans leurs impacts.

Construction:

Les yourtes, les tipis résistent mieux aux contraintes météo que nos constructions classiques, cubiques, pourquoi?

La forme circulaire est une évidence, le vent s'enrouel, contourne l'obstable, les surfaces planes sont des voiles à effets destructifs.

Lors des tempêtes aux USA, les rares constructions qui ont résisté étaient arondies.

De même, lors des incendies en Californies, les maisons rondes n'ont pas brulé, le flux laminaire a crée une "peau" protectrice.

Donc, s'inspirer modestement des héritages ancestraux, du biomimétisme est une solution qui nous pique les yeux par son évidence.

J'ai un grand espoir en l'avenir, j'ai conçu des logiques techniques pour le nourrir.

Soyons au rendez-vous de l'histoire.

Merci.

Emballement de l'actualité

Par Le 23/05/2015

A fond, à fond...

 

   L'une des clés du succès est la constitution d'un réseau pro.

Savoir conjuguer les compétences, reconnaître celles-ci chez les liens qui se tissent au fil des jours est essentiel.

L'une de mes innovations va être présentée d'ici fin juin à un concours de l'innovation organisée par ERDF.

Sur cette base se sont greffés des liens humains de qualité qui ont aussi, suivant leurs activités respectives, vu que d'autres de mes concepts avaient des avantages certains, devaient aller plus avant dans leur développement/réalisation.

Donc, tout s'accélère, le tout étant de savoir faire face à cette demande...

Ce n'est pas une pression au sens négatif du terme, c'est une motivation surmultipliée!

C'est tout à la fois de la rigueur mais aussi de l'adaptabilité qui est requise.

Et j'aime!

Donc, j'ai bien utilisé les ponts du mois du mois de Mai pour définir le cadre de travail, composer les supports de communication, trouver les réponses aux challenges qui apparaissaient ici et la, constituant un puzzle magnifique dès lors que les pièces recherchées étaient trouvées, positionnées, réunies...

Certes, la fatigue est là, mais c'est ce que l'on appelle une "bonne" fatigue, celle qui ne nait pas de l'ennui, mon ennemi!

A+

A fond les manettes!

Par Le 16/10/2014

Débordé! Et c'est tant mieux!

   Je reviens!

Ces dernières semaines sont de pures périodes de folie. Mon travail salarié est assez prenant mais ce n'est pas la raison principale de mon absence.

Non, en réalité, c'est mes projets de novembre prochain qui m'ont éloigné de ce blog.

En trois jours, je dois assurer à la fois une session de formation sur les tablettes et smartphone sur toute une journée, sur la base de rencontres d'environ 20/30 minutes ciblée grand-public et, aussi, une conférence de quatre heures sur les ENR cette fois-ci à un public d'élèves ingénieurs de l'Université de Tours.

Comme je veux en profiter pour rendre ce dernier support de communication dynamique, il me faut faire un travail de fond. Réunir les dernières informations disponibles, réaliser une analyse détaillée sur cet univers si diffus (quelle énergie finale, quelle source d'origine, quelle acceptation de la part des diverses populations, cycles économiques etc...) pour faire que les ENR soient « intelligibles ».

Le but final étant de présenter mes propres propositions et voir si elles peuvent trouver un accueil favorable en vue d'une expertise/développement à très court terme.

Donc, la partie finale est conséquence du travail en amont, crédibilité oblige.

D'où mon absence sur ce blog.

Ce qui n'a pas interdit une consultation régulière si je dois me fier aux statistiques de fréquentation toujours élevées.

Le fait de rassembler, structurer de manière optimale ma pensée a eu d'autres avantages.

J'ai mieux structuré ma stratégie, et, de là, défini plus précisément mon calendrier des actions futures.

Telles des pièces détachées d'un kit industriel, j'ai conforté l'idée que je dois trouver de multiples acteurs économiques pour autant d'innovations différentes mais, pour autant, imbriquées les unes aux autres pour une stratégie globale qui touche au niveau macro-économique à des domaines extrêmement variés.

Je me trouve à impacter l'industrie de l'énergie (thermique, électrique...), l'industrie nautique, minière, la dépollution des mers, la conversion d'outils industriels, l'agriculture etc...

Ce qui est un peu dur à gérer pour une seule personne, vous l'admettrez!

Il est vrai que lorsque notre économie tournait, globalement, autour du pétrole, les choses étaient plus simples. La pollution était « secondaire », la chimie et les transport étaient satisfaites d'un approvisionnement simpliste.

Aujourd'hui la partie est plus complexe. On passe de la belotte aux tarots.

J'entends par là que les cartes sont plus nombreuses, les combinaisons augmentent de manière exponentielles.

Donc, être à la fois capable d'analyser et aussi de proposer des actions directes n'est pas aisé. Mais c'est mon ambition. Se limiter à donner des leçons n'apporte pas grand-chose. Proposer des idées qui ne reposent pas sur une vision réaliste de la situation actuelle et future est suicidaire.

La synthèse que je fais, et je simplifie à outrance, est celle-ci:

Nous sommes au sein d'un milieu fini, la Terre.

Durant des siècles, nous avons « tapé » dans les réserves avec gourmandise.

Foré, gratté, creusé, transporté, transformé...

Aujourd'hui, les réserves sont ou très réduites ou très coûteuses à exploiter.

Nos décharges, elles, regorgent du fruit de notre travail antérieur.

Lavoisier va nous être utile pour illustrer mon propos.

Rien ne se crée etc...

Donc, pour les matériaux, forcément, il faudra absolument fouiller dans nos poubelles pour récupérer les métaux, minéraux etc... avec l'avantage que ces gisements sont locaux, donc pour le plus grand bénéfice de nos balances commerciales.

Deux, le soleil, sous forme de photons, chaleur, flux des vents etc... est la solution à un milieu fini puisqu'il s'agit d'un apport extérieur!

L'hydrogène, sous forme simple ou combinée est une molécule capitale de notre avenir, de par sa disponibilité incroyable et ses capacités multiples.

Donc, l'avenir est radieux, et pour le faire émerger, il y a du travail pour énormément de personnes qualifiées ou non.

Une conclusion optimiste et non béate sera la brève chute de ce billet, le développement global étant réservé à ma conférence du 10/11 prochain.

Je ne sais pas si elle sera filmée et diffusée, si elle plaira, mais je travaille dessus comme un forcené et je suis hyper motivé, déterminé.

Voilà, c'est dit.

A+!

Réflexions sur le système HHO

Par Le 30/08/2014

L'eau de mer, source de la transition énergétique?
 
   Vous le savez, parmi les différents axes de travail que j'exploite, il y a le système HHO ou électrolyse basse consommation.
Pour les petits nouveaux qui nous rejoignent, la particularité de ce concept est que l'on ne cherche pas à séparer l'oxygène de l'hydrogène à travers deux espaces séparés, ce qui oblige à éloigner les électrodes, source d'une grande consommation d'énergie.
Non, on veut juste casser les molécules d'eau, produire un gaz et le consommer immédiatement, avant que ces deux parties ne se recombinent.
L'hydrogène est un excellent carburant (3x plus énergétique que les hydrocarburants) et l'oxygène est un comburant, qui permet donc une combustion du carburant (essayez donc de faire brûler une bougie dans un espace sans oxygène!).
Adapté à mon automobile, j'ai pu constater que, sur de longs trajets, même à grande vitesse, ma consommation d'essence descendait 
alors que je n'ai pas modifié l'électronique de gestion.
Mais, et c'est en échangeant avec un ami hier soir (merci Alexis Greff), que m'est venu à l'esprit un détail que j'avais négligé:
En franchissant le Massif Central, je n'ai pas perdu en puissance, alors que mon moteur n'est qu'un petit 1.1l.
En effet, produisant de l'oxygène, j'apporte à mon moteur le comburant qui peut me manquer en altitude.
Ainsi, on peut considérer que cette filière HHO peut aider les populations en altitude pour leurs besoins en énergie, électricité, chauffage, via un système thermique à haute performance (combustion optimale), à priori sans émission de co² (il faudrait analyser ce qui sort de la combustion de cette "eau").
En plus, son stockage, sa logistique est plus sécurisante que nos carburants classiques.
Hors tension électrique, ce "carburant" n'est que de l'eau!
Si une citerne se renverse, déversant son contenu, pas de pollution, une grosse flaque sera le seul désagrément....
Je pourrais développer plus, mais cela deviendrait vite barbant!
Par contre, les commentaires et objections, que vous pourriez apporter pour nourrir le débat sont les bienvenus et j'y répondrai avec plaisir...
Give3

HHO? à l'eau quoi!

Par Le 20/07/2014

HHO?

   Ce billet s'adresse aux lecteurs qui suivent mes différentes publications, à la fois sur ce blog, mais aussi sur ma page FB techno/design.

Mes travaux étant, suivant le temps libre disponible, orienté sur tel ou tel sujet, précisons que, actuellement, je suis très impliqué sur l'étude pratique du système HHO.

Et, par retour d'expérience, voici, de manière détaillée, ce que j'en retire, en détermine comme objectif pour l'avenir.

Le système HHO a pour principe une électrolyse particulière.

En décidant de rapprocher le plus possible les électrodes, on casse les molécules d'eau en hydrogène et oxygène sans les séparer véritablement, on ne les « récupère » pas via deux circuits séparés.

Ce qui implique que ce comburant produit doit se reformer en eau très rapidement.

Donc, il faut le consommer immédiatement!

Par contre, force est de constater que ce gaz « instable » peut avoir des usages multiples.

« Dopant » l'admission, il permet, à certaines phases de conduite, de belles économies de carburant « classique », surtout sur route à régime constant.

Via les buses existantes, il peut alimenter un chalumeau ou un réchaud.

Mais, il a des limitations physiques.

Peu de variabilité de production en temps réel.

D'où le fait qu'en circulation urbaine, il répond moins bien aux sollicitations du moteur, réduit moins les consommations.

D'un autre coté, l'histoire des sciences nous a fait découvrir différents types de moteurs, de la machine à vapeur aux dernières générations de moteurs électriques en passant au moteur à combustion interne, le moteur à essence ou diesel qui nous sont familiers.

Parmi les moteurs qui furent imaginés, il existe un type particulier, le moteur à combustion externe.

C'est le moteur à vapeur, une chauffe d'un volume d'air ou d'eau crée une dilatation du volume chauffer, entraînant une turbine.

Le propre de ces machines est de ne pas offrir une variabilité de régimes de rotation.

Par contre, les rendements sont optimisés.

Et, là, je crois que vous commencez à percevoir ma vision...

En effet, si nous avons d'un coté une production de gaz « constante » et un moteur à régime invariant, nous ne pouvons qu'associer les deux pour une combinaison parfaite.

La production de gaz « on demand » a l'avantage de limiter les risques puisque nous n'avons aucun stockage de gaz explosif.

Le moteur étant optimisé à son régime de fonctionnement, nous pouvons passer d'un rendement de 30% pour les moteurs « classiques » à 60% ou plus pour un moteur Stirling ou à cycle de Rankine, ces moteurs à combustion externe.

La source d'approvisionnement en carburant, l'eau, n'est pas un problème puisqu'il ne s'agit pas de « prendre » sur les ressources en eau potable.

Comme je l'ai dit dans mes pages FB, l'eau de mer constituant 70% de la surface du globe, nous avons un gisement à portée de main absolument considérable, sans besoin de forage.

Un travail chimique sur l'eau de mer « brute » pour savoir ce qui doit en être filtré pour la rendre compatible avec le système HHO se justifie.

Le « fruit » de cette filtration sera certainement valorisable, minéraux, particules métalliques etc peuvent être, par la loi des grands nombres, être à l'origine d'exploitations industrielles, engrais naturels, matière première pour l'industrie etc...

Une décantation thermique (solaire), peut participer à ce travail de filtration sans émission polluante, et source de revenus pour les pays les mieux exposés!

Pour les autres, la co-génération thermique est une solution toute trouvée.

En effet, si une centrale électrique du type HHO/moteur à combustion externe a un rendement de 60%, cela signifie pertes par frottement, donc chaleur, donc, valorisation de ces pertes par utilisation de ces calories à l'usage de cycles de décantation thermique de l'eau de mer.

Donc, nous avons un principe de base applicable sous toutes les latitudes.

Revenons à mon besoin originel, la mobilité automobile.

Certains d'entre vous auront déjà pressenti mon analyse et ma réponse:

Puisque ce cycle est invariant, l'hybridation est la solution, tel que GM à travers les modèles Volt ou Ampera l'a démontré.

Un groupe électrogène HHO travaille en combinaison avec le pack de batteries embarqué.

Sa puissance moyenne offre deux cycles possibles:

A petits besoins énergétiques le générateur transfère son excédent d'électricité vers la recharge des batteries.

A grands besoins, l'énergie du générateur se combine aux batteries pour suffire aux besoins globaux.

Sachant qu'à de rares occasions (voyages, transport de fret...) l'essentiel du temps, un véhicule est à l'arrêt, stationnement, le générateur peut travailler à la recharge des accumulateurs via une surveillance électronique.

(Pour le ferroviaire, suivant les pays, certaines motrices diesel pourraient aussi bénéficier de ce principe).

Ce qui limite les besoins de recharge sur le réseau électrique et la sollicitation indirecte de centrales polluantes (thermiques charbon, gaz, fioul), objection courante des « opposants » aux véhicules électriques.

Come je l'ai dit plus haut, ce même gaz s'adaptant à des moteurs existants, il peut s'envisager de convertir des centrales « classiques » à ce « carburant », ce qui limiterait la contestation écologique sur la production d'électricité de telle ou telle filière, un fractionnement des cellules de production de gaz pour une même turbine pourrait être une forme de variable d'ajustement aux besoins de carburant...

Donc, on a vue qu'à recherche des optimums, croisé aux « limitations » techniques des éléments constitutifs de la filière HHO, nous avons pu trouver des solutions adaptables à une large part des besoins en énégie de nos sociétés.

Et avant même toute objection, il n'y aura pas de panacée à ces besoins, le pétrôle bon marché nous a fait croire qu'il l'était, ses conséquences environnementales ont témoigné du contraire.

Donc, l'intelligence (collective, forcément) donnera des solutions via des mix énergétiques et techniques, à la stabilisation de nos économies qui auraient trop à souffrir de ruptures énergétiques.
Merci de votre attention.

Big, not, giant business offer!

Par Le 12/05/2014

Recherche partenaires industriels s.v.p. Dans le B.T.P.!

   Pour mes lecteurs fidèles, vous le savez, la vision du documentaire consacré au sable sur Arte m'a interpelé et j'ai, je crois, trouvé une solution qui a de nombreux avantages, tant en termes de coût, d'efficacité, de durabilité et, aussi, de conséquences positives en terme d'écologie et de développement macro-économique à plusieurs niveaux.

Dans ce billet, je n'exposerai pas le système physique ou mécanique de ma création, c'est l'objet de l'accord de licence que je souhaite passer avec des partenaires industriels, mais tout le business plan et ses conséquences positives.

Les métiers de la construction au sens large a besoin de sable.

Les gisements classiques, sable de mer, sont en voie d'épuisement.

Les déserts sont composés de sables impropres en l'état.

Pour autant, les déserts s'étendent dangereusement (+ 600 000 km² en 50 ans, rien que pour le Sahara, ce qui correspond au territoire français, et même un peu plus).

Alors que l'Afrique devient un continent en réel développement, il est urgent de gérer au mieux les surfaces agricoles, pour une stabilité politique locale, basée sur la satisfaction des besoins de la population.

Rien que la surface citée plus haut correspond à un marché prodigieux (600 000 km²!), apte à satisfaire un marché sur bien des années.

Donc, l'aspect écologique primaire est de profiter d'une opportunité économique pour remettre des terres agricoles à disposition.

Le verdissement des territoires libérés est aussi un gage de conditions de travail acceptables pour les nombreux employés de ces futures sablières du désert.

Dans les aspects stratégiques de mon projet, je vous propose de regarder de près une carte du Sahara.

Saharacarte1

On peut voir aisément que ce territoire-continent est idéalement positionné pour alimenter le marché mondial.

Ses ouvertures sur l'Océan Atlantique, mer Méditerranée, Canal de Suez et Océan Indien sont autant de portes sur les clients du monde entier.

De plus, cela offre des possibilités de grignotage sur toute la périphérie de ce désert, d'offrir du travail et du développement économique pour autant de pays concernés.

Le chiffre d'affaire, ne l'oublions pas, se chiffre en milliards...

Mon système technique est 0% carbone.

Certes, le transport, lui, ne l'est pas mais le verdissement conjoint de mon process compense le CO² émis en logistique.

Le marché du sable est stratégique tant au niveau des infrastructures (construction, route) que pour le tourisme (plages a reconstituer) que pour la cosmétique, l'électronique etc...

Rendons au sable du désert ses potentialités économiques et chacun, oui, chacun des êtres de notre planète en bénéficiera.

Vous pouvez me contacter via mon adresse mail: jm.doniat@gmail.com

Merci de m'avoir lu.

I'm looking for industrial partners in the construction industry please!

   To my loyal readers , you know, the vision of the documentary about the sand on tv (Arte) heckled me and, I think, found a solution that has many benefits, both in terms of cost, efficiency, sustainability and also positive consequences in terms of ecology and macro-economic development at various levels.

In this post, I will not expose the physicals or mechanicals facts of my creation, This system is subject to the license agreement that I would go with industrial partners, but the business plan and its positive consequences.

The construction trades wider needs sand.

Conventional reservoirs, sea sand, are depleted.

The deserts are composed of sands unfit state.

However, deserts are expanding dangerously (+ 600 000 km ² in 50 years, just for the Sahara, which is the French territory, and even a little more).

While Africa is a continent in real development, it is imperative to better manage agricultural land for a local political stability, based on the needs of the population.

Just the surface mentioned above is a prodigious market ( 600,000 km ² ! ) Capable to satisfy a market for many years.

Therefore, the primary ecological aspect is to enjoy an economic opportunity to put agricultural land available .

The greening of liberated territories is also a guarantee of acceptable working conditions for many of these future employees pits desert .

In the strategic aspects of my project, I suggest you look closely at a map of the Sahara.

Saharacarte1

One can easily see that the territory-continent is poised to power the global marketplace.

Openings on the Atlantic Ocean, Mediterranean Sea, Suez Canal and Indian Ocean are many doors to customers worldwide.

In addition, it provides opportunities for snacking throughout the periphery of the desert, to provide employment and economic development for many countries.

Turnover, do not forget, worth billions ...

My technical system is 0% carbon .

Certainly, transportation, is not but my spouse greening process compensates for the CO ² emitted by logistics.

The sand is a strategic market both in terms of infrastructure (construction, road) for tourism (beaches reconstitute ) for cosmetics, electronics etc ...

Let the desert sand its economic potential and everyone, yes, each of the beings of our planet will benefit.

You can contact me via my email address : jm.doniat@gmail.com

Thank you for reading me .

Questionnements sur la transition énergétique...

Par Le 13/04/2014

Ca va péter!

   J'ai publié ce matin sur https://www.facebook.com/pages/FactorYthon/276759825819151 un éditorial que m'a inspiré un documentaire sur la politque de transition énergétique en Allemagne depuis 2011, sa comparaison avec la situation aux USA avec le gaz de schiste, offrant ainsi une tribune à ceux que cela peut intéresser...

Bonne lecture, bonne analyse...

Une folle idée... qui peut marcher! Suite, suite.

Par Le 11/04/2014

J+3, le bébé est vif et vous interpelle....

   Sur la page facebook.com/pages/FactorYthon j'ai publié un nouvel éditorial, dans l'esprit, battons le fer tant qu'il est chaud!

Avec un appel à collaborations que je vous laisse découvrir pour enrichir cette page de bonnes infos, bien utiles, donc à partager, et, aussi, à faire connaître FactorYthon via vos réseaux et le réseau de vos réseaux, une chaîne quoi!

Mais pas celle de Ponzi, plutôt du genre de celles qui permettent de retrouver rapidement des gens disparus, quelques clics et la dynamique est lancée...

Je compte sur vous!

P.S. Voici des icônes pour vous inspirer...

Factotytconeagendasalonspros

Factotytconefablabs

Factotytconecafe aperospros

Factotytconeecolessup