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performances économies

Je passe en vitesse pour donner des nouvelles....

Par Le 09/09/2016

Bonjour à tous!

 

Je suis (beaucoup) moins présent sur ce blog, navigant plus sur FB et autres (LinkedIn, YouTube et consors).
(Vous savez donc où me retrouver si vous le désirez)

Les travaux sur le solaire ont été un peu décevant, par erreur d'organisation de ma part, je le concède.

Ma priorité de ces derniers jours a été à nouveau sur l'usage de l'azote liquide à des fins de transition énergétique au sens large.
Je vous fournis les liens texte et vidéo, pour vous sensibiliser :

https://www.linkedin.com/pulse/apr%C3%A8s-l%C3%A9conomie-carbone-azote-jean-marc-doniat?trk=mp-author-card

 

Amusez-vous bien et à bientôt !

Cop21, économie 3D, El Nino

Par Le 03/12/2015

Prenons le temps de la réflexion...

   Nous sommes en pleine #Cop21 et comme à toute période de forte communication, les avis les plus divers, parfois opposés se diffusent de manière massive voire désordonnée.

Ayant la chance de pouvoir, de par ma position professionnelle en pleine évolution, avoir un certain recul sur ces publication, je désire vous faire bénéficier de mon point de vue synthétique de la situation globale de notre société humaine au sein d'un mileu naturel perturbé.

Le débat à la #Cop21 est à comprendre tant à la fois des enjeux et des acteurs présents.

Cette conférence réunit les décideurs politiques afin de définir une stratégie, un "plan" au niveau politique.

Ce n'est pas un salon des solutions de terrain, même si certaines sont présentées en marges de l'évennement.

Donc, quelle que soient les décisions prises au plus haut niveau des états, ce ne sera qu'un maillon d'un ensemble global d'actions à tous les niveaux de nos sociétés, en allant de l'individu/consommateur/acteur jusqu'aux choix d'entreprise, associations ou tout autre groupe humain.

 

Nous savons tous que les médias publieront, suivant leur orientations, des bilans mitigés sur cette conférence, car, suivant leur (notre?) subjectivité, il y aura toujours à redire.

La faute à notre désir de voir nos élites décider ce qui est le meilleur pour nous, par délégation de pouvoir, une recherche contradictoire entre une certaine forme de recherche de l'image du père et cela en parfaite contradiction avec notre déisr de démocratie, de liberté de choix.

Le débat sur l'inflence ou non de l'homme sur le dérèglement climatique n'est plus d'actualité.

Les conséquences de ce dérèglement sont là et il faut voir comment s'en prémunir.

Le phénomène #ElNino a cette année une ampleur inhabituelle et cela ne sera pas sans conséquences pour les semaines et les mois à venir, les prémices sont déjà visibles, pluies intenses après des sécheresses record en Inde et aux Etats-Unis par ex.

Retenons que pour nos sociétés modernes et mécanisées, les besoins primordiaux sont de plus en plus l'accès à l'eau et à l'énergie de la manière la plus stable qui soit.

Des sécheresses ou des pluies diluviennes sont des dangers.

La production erratique d'énergie sollicite les réseaux de distribution de toutes tailles.

Pourtant les gisements et les stocks infinis à l'échelle humaine sont là; il suffit de les mettre en perspectives grace à l'usage de bon sens.

L'eau suit un cyle qui assure la disponibilité de gisemnts. L'eau potable en est la rsultante. L'eau de mer, 70% de la surface du globe est la mine. Le traitement est le produit fini.

Donc il s'agit de structurer le process de transformation d'un matériau de base en produit fini, adapté au mileu où l'on se trouve.

C'est pour cela que je développe deux procédés, une décantation thermique basse pression et un filière azote liquide qui est à la fois source d'énergie verte 24/24 et de production d'eau par condensation en parallele.

Pour l'énergie décarbonnée, nous le savons de longue date, l'énergie solaire est à même de fournir mille fois nos besoins.

C'est d'ailleurs ce qui me fait dire que nous ne sommes pas dans un lilieu fini, puisque nous bénéficions de cet apport extérieur.

Et l'énergie est la base de toute transformation.

Le challenge est donc dans la conversion optimale de cette source primaire, rayonnements multiples, en leviers de performances.

La production industrielle classique est une gabegie technologique.

Mais de nouveaux outils tels que la production de mode addictif les imprimantes 3D par ex. permettent la réalisation de biens au plus près du consommateur avec l'usage raisonné des matériaux et de l'énergie nécessaire.

Ce n'est que la reformulation de techniques ancestrales.

Autrefois, on construisait avec les matériax disponibles, briques d'argile, pisé etc... Il n'y avait pas de déchets.

Le BTP, avec la production dans des fours géants et énergivores de ciment, est le premier producteur de CO² dans le monde.

Mais comme les gisements de sable se raréfie, nous risquons de ne plus faire de béton dans un proche avenir...

C'est pour cela que j'ai conçu ma dévoreuse de désert.

Ce sable a envahi des surfaces inimaginables de terres cultivable à travers les siècles. Les égyptiens vivaient jadis, les illustrations de la période pharaonique en témoignent, dans un savane.

Le Sahara, en 50 ans seulement a recouvert plus que la surface de la France métropolitaine.

Valoriser le sable pour les besoins locaux et l'exportation vers les pays en besoins (reconstitution de plages et de digues par ex.) finance la lutte contre la désertification, le reverdissement de territoire "miroirs" du réchauffement climatique, la stabilisation de populations locales par la création de leviers économiques positifs.

Et cela peut se faire sans consommation de carburants fossiles.

Les matières premières au niveau miniers s'épuisent. Mais, à force de les exploiter ici et là pour nous apporter des produits finis en nos territoires ne disposant pas de ces ressources à modifié la répartition des gisements. "Rien ne se crée, rien ne se perd", nos poubelles sont les mines de demain.

Extrayons nos résidus, nous sommes sur des mines d'or virtuelles.

Synthétisons les matières transformées en nouvelles matières premières, utilisons les mode additif pour refaire de nouveaux objets pour ne pas avoir de résidus à recycler, ces process fonctionnant aisément sur des sources électriques, sans émission de CO².

Plus ou moins d'outils de coupe, efficacité du cycle industriel, production localisé, donc emplois pour tous.

La nature, rappelons le, est le labo de R&D le plus ancien, 5 milliards d'années!

Les travaux largement diffusés et pourtant pas assez lus, a démontré la puissance fabuleuse de modestes acteurs naturels.

Les bactéries, les micro-algues, certains fungus ont la capacité de produire rapidement, très rapidement, les constituants de base de nos besoins. Dépolluants de tous indésirables, hydrocarbures répandus, molécules complexes (métaux lourds...), bases alimentaires....

Ceratins même nous offrent des possibilités que l'on néglige, leur culture se fait par photosynthèse, donc émission d'oxygène, capture du CO².

Le CO², parlons-en!

Sa capture est un challenge, pas un problème.

Sa valorisation est un tremplin psychologique séduisant.

Production de graphène pour le stockage de l'énergie de manière compate et efficace, création de diamants artificiels pour des usages industriels, nanoparticules pour des constructions antisismiques....

La captation peut se faire par "simple" aspiration, sa transformation peut se faire à faible coût, son impact positif peut être rapide.

Bref, nous pouvons nettoyer les traces de deux siècles de société industrielle anarchique tout en générant une croissance économique idéalement répartie du la terre entière.

Les aléas météos peuvent être limités dans leurs impacts.

Construction:

Les yourtes, les tipis résistent mieux aux contraintes météo que nos constructions classiques, cubiques, pourquoi?

La forme circulaire est une évidence, le vent s'enrouel, contourne l'obstable, les surfaces planes sont des voiles à effets destructifs.

Lors des tempêtes aux USA, les rares constructions qui ont résisté étaient arondies.

De même, lors des incendies en Californies, les maisons rondes n'ont pas brulé, le flux laminaire a crée une "peau" protectrice.

Donc, s'inspirer modestement des héritages ancestraux, du biomimétisme est une solution qui nous pique les yeux par son évidence.

J'ai un grand espoir en l'avenir, j'ai conçu des logiques techniques pour le nourrir.

Soyons au rendez-vous de l'histoire.

Merci.

Réflexions sur le système HHO

Par Le 30/08/2014

L'eau de mer, source de la transition énergétique?
 
   Vous le savez, parmi les différents axes de travail que j'exploite, il y a le système HHO ou électrolyse basse consommation.
Pour les petits nouveaux qui nous rejoignent, la particularité de ce concept est que l'on ne cherche pas à séparer l'oxygène de l'hydrogène à travers deux espaces séparés, ce qui oblige à éloigner les électrodes, source d'une grande consommation d'énergie.
Non, on veut juste casser les molécules d'eau, produire un gaz et le consommer immédiatement, avant que ces deux parties ne se recombinent.
L'hydrogène est un excellent carburant (3x plus énergétique que les hydrocarburants) et l'oxygène est un comburant, qui permet donc une combustion du carburant (essayez donc de faire brûler une bougie dans un espace sans oxygène!).
Adapté à mon automobile, j'ai pu constater que, sur de longs trajets, même à grande vitesse, ma consommation d'essence descendait 
alors que je n'ai pas modifié l'électronique de gestion.
Mais, et c'est en échangeant avec un ami hier soir (merci Alexis Greff), que m'est venu à l'esprit un détail que j'avais négligé:
En franchissant le Massif Central, je n'ai pas perdu en puissance, alors que mon moteur n'est qu'un petit 1.1l.
En effet, produisant de l'oxygène, j'apporte à mon moteur le comburant qui peut me manquer en altitude.
Ainsi, on peut considérer que cette filière HHO peut aider les populations en altitude pour leurs besoins en énergie, électricité, chauffage, via un système thermique à haute performance (combustion optimale), à priori sans émission de co² (il faudrait analyser ce qui sort de la combustion de cette "eau").
En plus, son stockage, sa logistique est plus sécurisante que nos carburants classiques.
Hors tension électrique, ce "carburant" n'est que de l'eau!
Si une citerne se renverse, déversant son contenu, pas de pollution, une grosse flaque sera le seul désagrément....
Je pourrais développer plus, mais cela deviendrait vite barbant!
Par contre, les commentaires et objections, que vous pourriez apporter pour nourrir le débat sont les bienvenus et j'y répondrai avec plaisir...
Give3

Retour de vacances...

Par Le 16/08/2014

Congés originaux, positifs et technologiques

   Malgré mes belles promesses, je n'ai pas donné beaucoup de mes nouvelles ces derniers temps, je l'avoue.

Mais, avec ce billet, je vais me rattraper. En effet, j'ai profité de mes congés d'été pour ne pas voyager idiot, cumulant plaisirs du coeur et de l'esprit.

Convié par un ami de fraîche date, rencontré lors d'un mooc via Facebook, cet homme Bernard Lamailloux, formateur de qualité, généreux, ouvert, auteur d'un livre "Construire et animer une session de formation" Ed. Dunod, (qui est aussi un excellent support pour toute communication), qui a, en plus l'avantage de résider dans l'un des rares coins de France où le soleil est présent cet été (!), bref, cette invitation m'a permis d'accomplir plein de choses en très peu de temps.

Vous avez repris votre souffle, on reprend la narration.

Donc, pendant quelques jours, j'étais en Provence.

Soleil, températures agréables, paysages superbes, villes colorées et à l'architecture plaisante.

Mais, aussi, possibilités de faire des tests, des expériences!

Pour ce qui concerne les tests, j'ai pu valider l'efficacité de mon bocal d'électrolyse embarquée sur ma consommation d'essence sur de longues distances.

Bilan, à condition de bien refaire les niveaux d'eau tous les 100, à la limite 200 Kms, je ne consomme plus, même sur autoroute, que 5l/100.

Par contre, ayant négligé au retour le remplissage du bocal, j'ai eu tôt fait de transformer mon installation en gaspillage de calories, fort gourmand en électricité, et de voir la consommation monter au-dela de 7l/100!

J'ai aussi testé mes projets sur le solaire à concentration, avec une belle réussite. Mais, pour une analyse pleinement objective, il m'a manqué un microscope, ce qui sera vite réparé, dès que les commerces seront ouverts!

J'ai ramené un échantillon (5 litres) d'eau de mer, ce qui me permettra les jours prochains de faire un peu de chimie...

Je vous en dirai plus dès que les valeurs seront là.

Donc, qui dit voyage en Provence, dit spectacles merveilleux des paysages et vieilles pierres. Mais pas seulement.

C'est aussi là que l'on crée la nouvelle centrale Iter. Ayant longé le site, j'ai pu en mesurer l'ambition technologique, à défaut de pouvoir y entrer!

Mais, plus accessible, vous avez également l'une des premières agences Tesla, la voiture électrique américaine qui fait grand bruit dans le Landernau du véhicule vert.

Il faut savoir que Tesla s'implante commercialement avec une politique de service qui "fait la différence".

Aux propriétaires de leurs véhicules, cette société offre la recharge rapide, oui, offre!

Donc, sur des axes stratégiques, les stations/bornes de recharges sont mises en place pour correspondre à l'autonomie des véhicules certes, mais aussi, au confort de conduite:

Deux heures de route? Un repos est conseillé. Chance (!) une borne vous attend, vous permet de faire, le temps de prendre une boisson, de se dégourdir les jambes, de faire ses besoins, le "plein" de votre véhicule!

Donc, en sortie d'autoroute, en banlieue d'Aix en Provence, une agence Tesla s'est ouverte au printemps, juste à temps pour la saison touristique et recevoir à la fois les clients (et ils sont là), et les visiteurs de passage. J'ai vu un touriste néerlandais venir se recharger les batteries, le visage frais et dispos après un long trajet certes, mais dans des conditions de confort incroyables.

Je le sais, puisque je suis monté à bord d'un véhicule de démonstration!

Ayant déjà été à bord de v.e., je sais que le couple intégral est disponible immédiatement.

Mais, car je suis ddifficile, je n'aimais pas trop entendre cette forme de sifflement du moteur élecrique.

Là, vous avez 400 chevaux, pas de boite de vitesse, un équipement luxueux, rien au rabais.

Ce qui donne ceci: une poussée constante à des vitesses éllevées, voire illégales (!), pas de "choc" à chaque passage de vitesse, ça pousse tout le temps, avec une stabilité qui surprend (agréablement), le dos collé au siège, avec le seul bruit des pneus sur le goudron, et léger encore.

Si vous recherchez des vidéos, vous verrez que cette voiture "enrhume" ses équivalentes thermiques.

Cela signifie que toute manoeuvre de dépassement se fera sans apréhension. Tout en sachant que ce véhicule, pour autant, avec 500 Kms d'autonomie, ne vous fera pas le coup de la panne!

L'atelier est aussi une source de surprises.

Habitué à des concessions "classiques", je fus (stupidement) surpris du vide apparent de la partie maintenance.

Forcément, avec un moteur électrique, plus d'entretien ordinaire, plus de fosse à vidange, de bidons d'huile de cartons de filtres etc...

Moins, beaucoup moins de stocks de pièces détachées, d'outils (pourquoi avoir des clés à bougies par exemple), juste l'équilibrage des pneux et des ponts pour les plaquettes de freins, même si la récupération de l'énergie au freinage réduit même cette consommation de pièces dites d'usure.

Cette matinée passée dans cette concession est source de tellement de découvertes que cela "vaut" une visite de musée pour la masse d'informations à y puiser!

Comme la gamme va s'étendre dans les mois à venir, tôt ou tard, vous pourrez accéder à cet univers sans le souci du pouvoir d'achat correspondant, vous voici prévenus!

Donc, comme vous le voyez, en quatre jours, j'ai accumulé tant d'expériences de vie et scientifiques, ramené de quoi prolonger ce parcours par de nouveaux tests, que vous aurez bientôt de mes nouvelles, en prolongement de cette belle aventure.

Heureux de vous retrouver pour partager ces instants.

D'ailleurs, les personnes que j'ai revu depuis mon retour en Touraine ont été plus émerveillés du récit technique que de la narration de la partie touristique, donc, j'espère vous avoir aussi "régalés" par ce billet.

A très bientôt!

HHO? à l'eau quoi!

Par Le 20/07/2014

HHO?

   Ce billet s'adresse aux lecteurs qui suivent mes différentes publications, à la fois sur ce blog, mais aussi sur ma page FB techno/design.

Mes travaux étant, suivant le temps libre disponible, orienté sur tel ou tel sujet, précisons que, actuellement, je suis très impliqué sur l'étude pratique du système HHO.

Et, par retour d'expérience, voici, de manière détaillée, ce que j'en retire, en détermine comme objectif pour l'avenir.

Le système HHO a pour principe une électrolyse particulière.

En décidant de rapprocher le plus possible les électrodes, on casse les molécules d'eau en hydrogène et oxygène sans les séparer véritablement, on ne les « récupère » pas via deux circuits séparés.

Ce qui implique que ce comburant produit doit se reformer en eau très rapidement.

Donc, il faut le consommer immédiatement!

Par contre, force est de constater que ce gaz « instable » peut avoir des usages multiples.

« Dopant » l'admission, il permet, à certaines phases de conduite, de belles économies de carburant « classique », surtout sur route à régime constant.

Via les buses existantes, il peut alimenter un chalumeau ou un réchaud.

Mais, il a des limitations physiques.

Peu de variabilité de production en temps réel.

D'où le fait qu'en circulation urbaine, il répond moins bien aux sollicitations du moteur, réduit moins les consommations.

D'un autre coté, l'histoire des sciences nous a fait découvrir différents types de moteurs, de la machine à vapeur aux dernières générations de moteurs électriques en passant au moteur à combustion interne, le moteur à essence ou diesel qui nous sont familiers.

Parmi les moteurs qui furent imaginés, il existe un type particulier, le moteur à combustion externe.

C'est le moteur à vapeur, une chauffe d'un volume d'air ou d'eau crée une dilatation du volume chauffer, entraînant une turbine.

Le propre de ces machines est de ne pas offrir une variabilité de régimes de rotation.

Par contre, les rendements sont optimisés.

Et, là, je crois que vous commencez à percevoir ma vision...

En effet, si nous avons d'un coté une production de gaz « constante » et un moteur à régime invariant, nous ne pouvons qu'associer les deux pour une combinaison parfaite.

La production de gaz « on demand » a l'avantage de limiter les risques puisque nous n'avons aucun stockage de gaz explosif.

Le moteur étant optimisé à son régime de fonctionnement, nous pouvons passer d'un rendement de 30% pour les moteurs « classiques » à 60% ou plus pour un moteur Stirling ou à cycle de Rankine, ces moteurs à combustion externe.

La source d'approvisionnement en carburant, l'eau, n'est pas un problème puisqu'il ne s'agit pas de « prendre » sur les ressources en eau potable.

Comme je l'ai dit dans mes pages FB, l'eau de mer constituant 70% de la surface du globe, nous avons un gisement à portée de main absolument considérable, sans besoin de forage.

Un travail chimique sur l'eau de mer « brute » pour savoir ce qui doit en être filtré pour la rendre compatible avec le système HHO se justifie.

Le « fruit » de cette filtration sera certainement valorisable, minéraux, particules métalliques etc peuvent être, par la loi des grands nombres, être à l'origine d'exploitations industrielles, engrais naturels, matière première pour l'industrie etc...

Une décantation thermique (solaire), peut participer à ce travail de filtration sans émission polluante, et source de revenus pour les pays les mieux exposés!

Pour les autres, la co-génération thermique est une solution toute trouvée.

En effet, si une centrale électrique du type HHO/moteur à combustion externe a un rendement de 60%, cela signifie pertes par frottement, donc chaleur, donc, valorisation de ces pertes par utilisation de ces calories à l'usage de cycles de décantation thermique de l'eau de mer.

Donc, nous avons un principe de base applicable sous toutes les latitudes.

Revenons à mon besoin originel, la mobilité automobile.

Certains d'entre vous auront déjà pressenti mon analyse et ma réponse:

Puisque ce cycle est invariant, l'hybridation est la solution, tel que GM à travers les modèles Volt ou Ampera l'a démontré.

Un groupe électrogène HHO travaille en combinaison avec le pack de batteries embarqué.

Sa puissance moyenne offre deux cycles possibles:

A petits besoins énergétiques le générateur transfère son excédent d'électricité vers la recharge des batteries.

A grands besoins, l'énergie du générateur se combine aux batteries pour suffire aux besoins globaux.

Sachant qu'à de rares occasions (voyages, transport de fret...) l'essentiel du temps, un véhicule est à l'arrêt, stationnement, le générateur peut travailler à la recharge des accumulateurs via une surveillance électronique.

(Pour le ferroviaire, suivant les pays, certaines motrices diesel pourraient aussi bénéficier de ce principe).

Ce qui limite les besoins de recharge sur le réseau électrique et la sollicitation indirecte de centrales polluantes (thermiques charbon, gaz, fioul), objection courante des « opposants » aux véhicules électriques.

Come je l'ai dit plus haut, ce même gaz s'adaptant à des moteurs existants, il peut s'envisager de convertir des centrales « classiques » à ce « carburant », ce qui limiterait la contestation écologique sur la production d'électricité de telle ou telle filière, un fractionnement des cellules de production de gaz pour une même turbine pourrait être une forme de variable d'ajustement aux besoins de carburant...

Donc, on a vue qu'à recherche des optimums, croisé aux « limitations » techniques des éléments constitutifs de la filière HHO, nous avons pu trouver des solutions adaptables à une large part des besoins en énégie de nos sociétés.

Et avant même toute objection, il n'y aura pas de panacée à ces besoins, le pétrôle bon marché nous a fait croire qu'il l'était, ses conséquences environnementales ont témoigné du contraire.

Donc, l'intelligence (collective, forcément) donnera des solutions via des mix énergétiques et techniques, à la stabilisation de nos économies qui auraient trop à souffrir de ruptures énergétiques.
Merci de votre attention.

Laissez mijoter à feu doux...

Par Le 02/05/2014

La création c'est comme la cuisine!

   Hier, jour férié, pour certains!

Pendant que certains essayaient de trouver quelque chose à regarder à la télé pour meubleur leur temps libre, que d'autres essayaient vainement d'organiser un vide-grenier sous les averses, que, pour finir avec mes relations, installaient leur stand pour la Foire de Tours qui ouvre ce matin, quelques entrepreneurs se rendaient au café pour un apéro entrepreneurs.

Visiblement, les jours fériés ne sont pas leur "tasse de café" car nous étions très nombreux à nous réunir, échanger, refaire le monde!

J'ai eu un certain succès avec mon dernier projet, surtout quend j'ai parlé d'un C.A. potentiel à neuf chiffres....

Je laisse le sujet reposer un peu, d'où ma métaphore cullinaire en titre!

Ce matin, je me suis fait plaisir, en relevant sur un site nommé Bored Panda quelques pages de grande inspiration pour ceux qui aiment les détournements d'idées.

Vous pouvez les retrouver là:

https://www.facebook.com/pages/Des-id%C3%A9es-pour-une-meilleure-gestion-des-technologies-vertes-actuelles/161519560570887

et là:

https://www.facebook.com/pages/FactorYthon/276759825819151

Bonne lecture!

Sinon, je vais me remettre à la réalisation de notes de synthèse sur mes créations les plus séduisantes afin de pouvoir les présenter à de nouveaux décideurs.

Bonne journée!

Souciers, dowsers, futur du DD?

Par Le 10/12/2013

Petit délire du matin!

   Pendant ma toilette, détendu, je me suis mis à penser aux sourciers.

Au bout des bras, une branche souple qui, soudain, réagit à la présence d'une circulation d'eau sous le sol.

Les opérateurs disent qu'ils ne peuvent pas contenir ce mouvement.

On a donc, là, ce que l'on appellerait en physique un travail.

Nous sommes actuellement, à la recherche de toutes les formes possibles d'énergie verte, non?

Suivant les lieux, le vent, le soleil, le courant d'un cours d'eau sont des sources d'énergie, suivant les moyens de conversion existant.

Là, je me suis amusé à imaginer ce que l'on pourrait faire avec le principe du sourcier.

Et, aussi, à essayer de comprendre comment ça marche.

L'illustration fournie devrait nous aider.

Les mains entourent la branche.

Nous sommes constitués d'eau, il y à du fer dans les globules rouges, notres système nerveux est comme un réseau électrique.

Les mains ne forment-elles pas comme de bobines électriques?

Regardons les angles formés par les mains et la pointe de la baguette. Lorsqu'elle s'oriente vers le haut ou vers le bas, c'est signe d'une présence d'un cours d'eau (cela ne marche pas avec de l'eau sans mouvement).

Nous retrouvons le triangle d'un champ électrique, le principe des trois doigts.

La baguette agit donc comme un interrupteur qui bascule.

On peut supposer que dans l'eau en circulation, du fait de l'érosion, des particules métalliques sont en déplacement, créant un effet électromagnétique.

On a donc fermé le champ électrique.

Si on était capable de reproduire artificiellement de phénomène, que la baguette soit reliée à un principe de résistance mécanique, ressort, roue etc... nous avons là un procédé de production d'énergie simple (euphémisme) sans forage ou travaux extraordinaires!

A l'inverse du vent ou du soleil, à priori, variables, nous pourrions avoir un principe fonctionnant 24h/24, certes limité aux zones des sources, mais utile car, justement, ces sources sont souvent dans des zones où l'acheminement en électricité est difficile (montagnes).

Donc, voici le challenge:

Trouver un sourcier acceptant d'être notre cobaye.

Lui faire détecter un lieu propice.

Essayer avec nos outils modernes de trouver le champ électrique produit.

A partir des données obtenues, reproduire artificiellement ce mode de détection.

On a ainsi un levier physique à exploiter.

Coupler ce levier à une génératrice.

Mesurer sur l'année les variations éventuelles.

Trouver les constantes.

Comparer le bilan global aux processus connus (photovoltaïque, éolien) et voir ce qui est le plus rentable.

Bon, maintenant que je vous ai donné le problème, je peux me consacrer à autre chose...

Des réactions?

Je rappelle que, donc, je suis sur Facebook, Tweeter, G+, Viadeo, Linkedin et que mon adresse mail est jean-marc.doniat@laposte.net

A+

Little trip in the morning!

  During my toilet , relaxed, I started to think dowsers .

At the end of arms, a flexible leg which suddenly responds to the presence of circulating water in the soil.

Operators say they can not contain this movement.

It was therefore, here, it would be called a physical work.

We are currently looking for all possible forms of green energy, right?

Following places, the wind, the sun, the current of a stream are sources of energy, according to the existing means of conversion.

There, I had fun imagining what could be done with the principle of dowsing.

And also trying to understand how it .

The illustration provided should help.

Hands around the branch.

We are made of water, there to iron in red blood cells, ours nervous system is like a grid.

Hands they are not as electric coils?

Let the angles formed by the hands and the tip of the wand. When it is moving up or down, it is a sign of the presence of a river ( it does not work with water without movement).

We find the triangle of an electric field, the principle of three fingers.

The rod thus acts as a switch that switches .

Presumably in the circulating water, due to erosion of the metal particles are in movement, creating an electromagnetic effect .

It has closed the electric field .

If we were able to artificially reproduce the phenomenon, the wand is connected to a principle of strength, spring, wheel etc ... we have a simple method of producing energy ( I'm jocking) without drilling or extraordinary work!

Unlike wind or sun, a priori variables, we could have a working principle 24h/24 certainly restricted to areas of the sources, but useful for precisely these sources are often in areas where the routing electricity is difficult ( mountains).

So here is the challenge:

Find a dowser willing to be our guinea pig.

Him to detect a suitable place .

Try our modern tools to find the electric field.

From the data obtained artificially reproduce this detection mode.

There is thus a physical lever to operate.

Coupling the lever to a generator.

Measuring the year possible variations.

Find the constants.

Compare the overall balance to known processes (solar, wind) and see what is the most profitable.

Okay, now that I gave you the problem, I can devote myself to something else ...

Reactions ?

I notice that, so I 'm on Facebook, Tweeter, G+, Viadeo, Linkedin and my email address is jean-marc.doniat@laposte.net

Have a nice day and see you soon!

De retour!

Par Le 31/10/2013

Absence, silence, distance, non pas de vacances!

   Je pris quelques distance avec le blog pour une excellente raison.

J'ai été contacté par un concepteur qui a dans ses cartons un projet similaire par certains aspects avec mon véhicule individuel, très bien étudié (son projet), dont l'ensemble des éléments tient la route (business plan etc...) et j'ai attendu que nos liens soient un peu plus avancés pour reprendre la parole ici même.

Déjà, pour ceux qui seront (forcément) tentés, voici un lien:

http://velocar.fr/business.html

J'ai pu voir que nous avions beaucoup d'opinions en commun et une complémentarité pour faire évoluer favorablement le projet. Principes physiques, management participatif etc... une belle synergie peut poindre pour plus d'efficacité.

En conséquence de quoi, les jours qui suivent vont être très actifs!

Je rappelle que, donc, je suis sur Facebook, Tweeter, G+, Viadeo, Linkedin et que mon adresse mail est jean-marc.doniat@laposte.net

A+

Absence, silence, distance, not holidays!

   I took some distance from the blog for a good reason.

I was contacted by a designer who has a similar project aspects in his cartoons with my personal vehicle, very well studied (the project), all of whose elements is the road (business plan etc ...) I expected that our links are a little more advanced to take the floor here.

Already, for those who will (inevitably) tempted, here's a link:

http://velocar.fr/business.html

I could see that we had a lot of views in common and complementary to positively develop the project. Physical principles, participatory management etc ... a beautiful synergy can break for more efficiency.

As a result, the next few days will be very active!

I notice that, so I 'm on Facebook, Tweeter, G+, Viadeo, Linkedin and my email address is jean-marc.doniat@laposte.net

Have a nice day and see you soon!