photovoltaïque

Spécial 1er Avril, quoique...

Par Le 01/04/2013

En ce jour béni pour les esprits décalés, je publie ce billet en exposant une idée loufoque à première vue...

   Que donnerait l'exposition d'un panneau solaire photovoltaïque à une lumière... saccadée?

Je développe. Le cinéma « mécanique » fonctionne par le passage d'images fixes successives dont le passage de l'une à l'autre se fait par le biais d'un obturateur. Pourtant, la fluidité de l'ensemble obtenu donne cette sensation « magique » de mouvement fluide.

Donc, sachant que les cellules semblent avoir un « temps » durant lequel les photons sont absorbés, les autres étants « perdus », si on expose ces modules à une lumière solaire gérée par un obturateur (le rythme étant a déterminer), ne peut-on pas optimiser l'efficacité des ces cellules? Voire, recréer artificiellement un courant alternatif sans onduleurs?

Pendant le temps d'obturation, un jeu de prismes orienterait les photons non « utiles » vers d'autres cellules, une même source de lumière pour plus de cellules?

On revient ainsi à mon projet de panneaux solaires en 3D... Mais avec une gestion particulière, un système à « impulsions »...

Bon premier Avril...