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Bientôt la fin?

Par Le 30/04/2016

  Ne vous inquiétez  pas du titre!

Une profonde transition professionnelle va peut-être faire que ce blog n'aura plus lieu d'être.

Pages consacrées à un rêve, créer ma structure officielle, constituer une équipe, des partenariats sur des concepts réfléchis depuis belle lurette, ces pages doivent se conclure un jour, et, chance, sur une réalité.

Au fil du temps, des liens solides se sont tissés avec des institutions, des personnes, une ébauche de coordination est née, BCDGK Synergies.

Maintenant, ce bébé va marcher de manière autonome.

Le nom définitif n'est pas encore choisi, mais les projets et objectifs sont là.

Ce billet est rédigé pour remercier tous ceux qui m'ont lu, suivi, malgré de longues absences dans mes publications.

Il y aura une suite, je vous en parlerai avant de conclure définitivement ce blog.

Ce n'est pas une disparition, c'est une mutation, la fin de la chenille, le papillon apparaît....

Merci!

A fond les manettes!

Par Le 16/10/2014

Débordé! Et c'est tant mieux!

   Je reviens!

Ces dernières semaines sont de pures périodes de folie. Mon travail salarié est assez prenant mais ce n'est pas la raison principale de mon absence.

Non, en réalité, c'est mes projets de novembre prochain qui m'ont éloigné de ce blog.

En trois jours, je dois assurer à la fois une session de formation sur les tablettes et smartphone sur toute une journée, sur la base de rencontres d'environ 20/30 minutes ciblée grand-public et, aussi, une conférence de quatre heures sur les ENR cette fois-ci à un public d'élèves ingénieurs de l'Université de Tours.

Comme je veux en profiter pour rendre ce dernier support de communication dynamique, il me faut faire un travail de fond. Réunir les dernières informations disponibles, réaliser une analyse détaillée sur cet univers si diffus (quelle énergie finale, quelle source d'origine, quelle acceptation de la part des diverses populations, cycles économiques etc...) pour faire que les ENR soient « intelligibles ».

Le but final étant de présenter mes propres propositions et voir si elles peuvent trouver un accueil favorable en vue d'une expertise/développement à très court terme.

Donc, la partie finale est conséquence du travail en amont, crédibilité oblige.

D'où mon absence sur ce blog.

Ce qui n'a pas interdit une consultation régulière si je dois me fier aux statistiques de fréquentation toujours élevées.

Le fait de rassembler, structurer de manière optimale ma pensée a eu d'autres avantages.

J'ai mieux structuré ma stratégie, et, de là, défini plus précisément mon calendrier des actions futures.

Telles des pièces détachées d'un kit industriel, j'ai conforté l'idée que je dois trouver de multiples acteurs économiques pour autant d'innovations différentes mais, pour autant, imbriquées les unes aux autres pour une stratégie globale qui touche au niveau macro-économique à des domaines extrêmement variés.

Je me trouve à impacter l'industrie de l'énergie (thermique, électrique...), l'industrie nautique, minière, la dépollution des mers, la conversion d'outils industriels, l'agriculture etc...

Ce qui est un peu dur à gérer pour une seule personne, vous l'admettrez!

Il est vrai que lorsque notre économie tournait, globalement, autour du pétrole, les choses étaient plus simples. La pollution était « secondaire », la chimie et les transport étaient satisfaites d'un approvisionnement simpliste.

Aujourd'hui la partie est plus complexe. On passe de la belotte aux tarots.

J'entends par là que les cartes sont plus nombreuses, les combinaisons augmentent de manière exponentielles.

Donc, être à la fois capable d'analyser et aussi de proposer des actions directes n'est pas aisé. Mais c'est mon ambition. Se limiter à donner des leçons n'apporte pas grand-chose. Proposer des idées qui ne reposent pas sur une vision réaliste de la situation actuelle et future est suicidaire.

La synthèse que je fais, et je simplifie à outrance, est celle-ci:

Nous sommes au sein d'un milieu fini, la Terre.

Durant des siècles, nous avons « tapé » dans les réserves avec gourmandise.

Foré, gratté, creusé, transporté, transformé...

Aujourd'hui, les réserves sont ou très réduites ou très coûteuses à exploiter.

Nos décharges, elles, regorgent du fruit de notre travail antérieur.

Lavoisier va nous être utile pour illustrer mon propos.

Rien ne se crée etc...

Donc, pour les matériaux, forcément, il faudra absolument fouiller dans nos poubelles pour récupérer les métaux, minéraux etc... avec l'avantage que ces gisements sont locaux, donc pour le plus grand bénéfice de nos balances commerciales.

Deux, le soleil, sous forme de photons, chaleur, flux des vents etc... est la solution à un milieu fini puisqu'il s'agit d'un apport extérieur!

L'hydrogène, sous forme simple ou combinée est une molécule capitale de notre avenir, de par sa disponibilité incroyable et ses capacités multiples.

Donc, l'avenir est radieux, et pour le faire émerger, il y a du travail pour énormément de personnes qualifiées ou non.

Une conclusion optimiste et non béate sera la brève chute de ce billet, le développement global étant réservé à ma conférence du 10/11 prochain.

Je ne sais pas si elle sera filmée et diffusée, si elle plaira, mais je travaille dessus comme un forcené et je suis hyper motivé, déterminé.

Voilà, c'est dit.

A+!

HHO? à l'eau quoi!

Par Le 20/07/2014

HHO?

   Ce billet s'adresse aux lecteurs qui suivent mes différentes publications, à la fois sur ce blog, mais aussi sur ma page FB techno/design.

Mes travaux étant, suivant le temps libre disponible, orienté sur tel ou tel sujet, précisons que, actuellement, je suis très impliqué sur l'étude pratique du système HHO.

Et, par retour d'expérience, voici, de manière détaillée, ce que j'en retire, en détermine comme objectif pour l'avenir.

Le système HHO a pour principe une électrolyse particulière.

En décidant de rapprocher le plus possible les électrodes, on casse les molécules d'eau en hydrogène et oxygène sans les séparer véritablement, on ne les « récupère » pas via deux circuits séparés.

Ce qui implique que ce comburant produit doit se reformer en eau très rapidement.

Donc, il faut le consommer immédiatement!

Par contre, force est de constater que ce gaz « instable » peut avoir des usages multiples.

« Dopant » l'admission, il permet, à certaines phases de conduite, de belles économies de carburant « classique », surtout sur route à régime constant.

Via les buses existantes, il peut alimenter un chalumeau ou un réchaud.

Mais, il a des limitations physiques.

Peu de variabilité de production en temps réel.

D'où le fait qu'en circulation urbaine, il répond moins bien aux sollicitations du moteur, réduit moins les consommations.

D'un autre coté, l'histoire des sciences nous a fait découvrir différents types de moteurs, de la machine à vapeur aux dernières générations de moteurs électriques en passant au moteur à combustion interne, le moteur à essence ou diesel qui nous sont familiers.

Parmi les moteurs qui furent imaginés, il existe un type particulier, le moteur à combustion externe.

C'est le moteur à vapeur, une chauffe d'un volume d'air ou d'eau crée une dilatation du volume chauffer, entraînant une turbine.

Le propre de ces machines est de ne pas offrir une variabilité de régimes de rotation.

Par contre, les rendements sont optimisés.

Et, là, je crois que vous commencez à percevoir ma vision...

En effet, si nous avons d'un coté une production de gaz « constante » et un moteur à régime invariant, nous ne pouvons qu'associer les deux pour une combinaison parfaite.

La production de gaz « on demand » a l'avantage de limiter les risques puisque nous n'avons aucun stockage de gaz explosif.

Le moteur étant optimisé à son régime de fonctionnement, nous pouvons passer d'un rendement de 30% pour les moteurs « classiques » à 60% ou plus pour un moteur Stirling ou à cycle de Rankine, ces moteurs à combustion externe.

La source d'approvisionnement en carburant, l'eau, n'est pas un problème puisqu'il ne s'agit pas de « prendre » sur les ressources en eau potable.

Comme je l'ai dit dans mes pages FB, l'eau de mer constituant 70% de la surface du globe, nous avons un gisement à portée de main absolument considérable, sans besoin de forage.

Un travail chimique sur l'eau de mer « brute » pour savoir ce qui doit en être filtré pour la rendre compatible avec le système HHO se justifie.

Le « fruit » de cette filtration sera certainement valorisable, minéraux, particules métalliques etc peuvent être, par la loi des grands nombres, être à l'origine d'exploitations industrielles, engrais naturels, matière première pour l'industrie etc...

Une décantation thermique (solaire), peut participer à ce travail de filtration sans émission polluante, et source de revenus pour les pays les mieux exposés!

Pour les autres, la co-génération thermique est une solution toute trouvée.

En effet, si une centrale électrique du type HHO/moteur à combustion externe a un rendement de 60%, cela signifie pertes par frottement, donc chaleur, donc, valorisation de ces pertes par utilisation de ces calories à l'usage de cycles de décantation thermique de l'eau de mer.

Donc, nous avons un principe de base applicable sous toutes les latitudes.

Revenons à mon besoin originel, la mobilité automobile.

Certains d'entre vous auront déjà pressenti mon analyse et ma réponse:

Puisque ce cycle est invariant, l'hybridation est la solution, tel que GM à travers les modèles Volt ou Ampera l'a démontré.

Un groupe électrogène HHO travaille en combinaison avec le pack de batteries embarqué.

Sa puissance moyenne offre deux cycles possibles:

A petits besoins énergétiques le générateur transfère son excédent d'électricité vers la recharge des batteries.

A grands besoins, l'énergie du générateur se combine aux batteries pour suffire aux besoins globaux.

Sachant qu'à de rares occasions (voyages, transport de fret...) l'essentiel du temps, un véhicule est à l'arrêt, stationnement, le générateur peut travailler à la recharge des accumulateurs via une surveillance électronique.

(Pour le ferroviaire, suivant les pays, certaines motrices diesel pourraient aussi bénéficier de ce principe).

Ce qui limite les besoins de recharge sur le réseau électrique et la sollicitation indirecte de centrales polluantes (thermiques charbon, gaz, fioul), objection courante des « opposants » aux véhicules électriques.

Come je l'ai dit plus haut, ce même gaz s'adaptant à des moteurs existants, il peut s'envisager de convertir des centrales « classiques » à ce « carburant », ce qui limiterait la contestation écologique sur la production d'électricité de telle ou telle filière, un fractionnement des cellules de production de gaz pour une même turbine pourrait être une forme de variable d'ajustement aux besoins de carburant...

Donc, on a vue qu'à recherche des optimums, croisé aux « limitations » techniques des éléments constitutifs de la filière HHO, nous avons pu trouver des solutions adaptables à une large part des besoins en énégie de nos sociétés.

Et avant même toute objection, il n'y aura pas de panacée à ces besoins, le pétrôle bon marché nous a fait croire qu'il l'était, ses conséquences environnementales ont témoigné du contraire.

Donc, l'intelligence (collective, forcément) donnera des solutions via des mix énergétiques et techniques, à la stabilisation de nos économies qui auraient trop à souffrir de ruptures énergétiques.
Merci de votre attention.

Questionnements sur la transition énergétique...

Par Le 13/04/2014

Ca va péter!

   J'ai publié ce matin sur https://www.facebook.com/pages/FactorYthon/276759825819151 un éditorial que m'a inspiré un documentaire sur la politque de transition énergétique en Allemagne depuis 2011, sa comparaison avec la situation aux USA avec le gaz de schiste, offrant ainsi une tribune à ceux que cela peut intéresser...

Bonne lecture, bonne analyse...

Brève, très brève!

Par Le 01/11/2013

Merci me de suivre, même en pleine nuit!

   Jour férié, je pensais que les visites se réduiraient, l'image qui suit témoigne du contraire:

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Donc, comme je suis lu, et que j'ai quelques minutes de libre, voici les dernières infos.

J'ai, je crois, résolu quelques difficultés structurelles sur le projet de véhicule individuel. Equilibre du véhicule à l'arrêt ou à basse vitesse, quelques aspects aérodynamiques, et encombrement de l'ensemble pour faciliter le stationnement. En effet, suite à la prise de contact avec velocar, le principe du véhicule repliable, sans perte de rigidité structurelle et/ou d'alourdissement excessif, a été mis en suspens à cette étape du développement. Finalement, si le véhicule reste assez court pour ne pas empiéter trop sur le domaine public, inutile de chercher des difficultés là où elles peuvent ne pas exister.

Maintenant, je vais me préparer à mon projet « pragmatique » du jour, retirer le papier peint d'une pièce à repeindre!

Je rappelle que, donc, je suis sur Facebook, Tweeter, G+, Viadeo, Linkedin et que mon adresse mail est jean-marc.doniat@laposte.net

A+

Thank you to follow me, even at night!

   Holiday, I thought that the visits would be reduced, the image below shows the contrary:

stat-011113.jpg

So, as I read, and I have a few minutes to spare, here are the latest updates.

I have, I think, solved some structural problems on the draft individual vehicle. Balance the vehicle stopped or at low speeds, some aerodynamic aspects and dimensions of the assembly to facilitate parking. Indeed, after making contact with VELOCAR the principle of folding vehicle without loss of structural rigidity and / or heavier excessive, has been put on hold at this stage of development. Finally, if the vehicle is short enough not to encroach too much on unnecessary public domain, to look for problems where they may not exist.

Now I will prepare for my project "pragmatic" day, remove the paint from one room to paint paper!

I notice that, so I 'm on Facebook, Tweeter, G+, Viadeo, Linkedin and my email address is jean-marc.doniat@laposte.net

Have a nice day and see you soon!

Energie, où quand, comment?

Par Le 10/10/2013

Demain?

   Ce billet du jour s'intègre dans une réflexion globale.

Les bases de cette pensée est, d'une part, la conférence de JM Jancovici qui aura lieu ce soir 10 Octobre 2013 à Tours et, d'autre part, un documentaire (disponible 7 jours seulement, faites vite) sur ce lien figurant en bas de page (zut, la diffusion a eu lieu mardi, nous sommes jeudi, vous n'avez plus que 5 jours!).

Quel rapport entre ces deux sources d'information?

JM J. expose que nos sociétés sont toutes basées sur une unité commune, l'énergie. En effet, tout est énergie.

Chauffage, refroidissement, déplacement, alimentation, transformation, rien ne se fait sans énergie, si minime soit-elle. Même notre simple respiration consomme de l'énergie, c'est pour cela que nous mangeons.

Sur Arte, la précarité, depuis Dickens, a muté. On voit des personnes, souvent des familles, vivre dans des conditions de salubrité réduites, ne tenant, finalement par deux biais.

Le logement est réalisé sans investissement (squatt), et avec prise des sources d'énergie sur le réseau général sans payer sa dîme.

Lorsque les institutions cherchent à régulariser cette situation, la perception des droits respectifs oppose objectivité et subjectivité.

Les communautés installées là ne disent pas qu'elles ont l'énergie et le logement gratuits en dehors de toute légalité, elles se targuent de droits en tant qu'être humains, mais sans admettre pour autant l'ensemble de leurs actions illégales, poussés par la nécessité impérieuse de leur survie.

Certaines images peuvent même heurter les « bonnes consciences » lorsque dans ces logements de misère, on y trouve un ordinateur portable ou un grand écran plat chez des personnes dites sans revenus.

En Espagne, et je pense que ce schéma est reproductible à quelques nuances près, les institutions sont désarmées face à cette situation. Elles affirment, dans leur plan de communication, être au fait des tenants et aboutissants, avoir les meilleures solutions possibles, mais, à la première question appelant à une réponse purement mathématique, comptable, objective, on voit que, eux non plus, n'ont aucune donnée crédible à offrir à leurs projections sur l'avenir.

Chacun, de son coté, travaille plus sur des dogmes, des principes, de belles théories qui ne tiennent pas face aux chiffres.

En effet, plus d'énergie bon marché (cf. actualité sur la disparition progressive des tarifs réglementés), avant, de toutes manières, de ne plus avoir, structurellement, accès aux ressources fossiles, par épuisement des stocks.

Par exemple, le projet d'urbanisme de Hambourg a une faille: Construire une zone de vie à prix accessible pour avoir une mixité de la société ne tiendra pas. Pourquoi? Parce que ceux qui seront tentés et qui ont le pouvoir d'achat pour y vivre, en se basant sur le concept simple « qui se ressemble s'assemble » profiteront de l'opportunité économique de se loger à bon compte en refusant, au fond d'eux, de vivre avec des personnes différentes socialement parlant d'où des quartiers HLM forts différents dans nos villes, certaines zones étant, pour caricaturer, des ghettos, d'autres des secteurs « bobos ».

La réhabilitation d'un quartier ont souvent provoqué plus un déplacement des communautés fragiles que leur intégration effective.

Revenons au problème de l'énergie.

Si la science, le savoir, source d'éveil des con-sciences, sait puiser dans ses capacités à exploiter les déchets locaux pour en faire des sources d'énergies locales (captation du co², conversion par la chimie en nouveau carburant « local » (méthane etc...)) ou à trouver une optimisation des ENR par de simples règles d'optique ou de mécanique des fluides pour rendre le solaire (PV/thermique) et l'éolien économiquement à moyen, long terme, viables, ce qui signifie transition énergétique, nous aurons de quoi créer une économie de demain, avec la remise à plat des cycles économiques (circuits courts pour l'alimentation, la production industrielle, les déplacements quotidiens etc...).

A défaut et JM J. le démontre fort bien, cruellement même, ce sont les émeutes, les guerres qui reviendront, fatalement.

L'actualité nous les démontre à travers tous les conflits ouverts ou larvés qui emplissent les pages de nos journaux.

Ce problème est un peu comme un écheveau. Par quel bout le prendre?

Ma proposition est inspité par le principe de Lavoisier, que sous-tend une partie de mon argumentaire, rien ne se pert, rien ne se crée, tout se transforme.

L'exploitation minière de longue date a débouché sur des créations de déchets monstrueux après son transport et son usage. 

En terme d'équations, tout ce qui a été fait ces dernières générations se résume au déplacement géographique des ressources minérales, des mines à nos poubelles (l'air ambiant étant une poubelle à l'air libre).

Ipso facto, une des source de conflit était la disponibilité en certains lieux de ressources, les autres populations étant réduites à prendre, généralement par une pression (force, colonisation etc...).

Maintenant que, sous formes de rédiduts, quasi particules de base, ces ressources ont été, par l'acivité humaine, "relocalisées" chez nous, nous n'avons plus qu'à les recycler, les valoriser, pour, tout autant, lutter sontre ce qui n'est actuellement qu'une pollution pour en faire un levier de croissance. Je propose à chacun de consulter les bases d'informations sur des mots clés tels que cogénération, craddle to craddle etc...

Ce n'est donc pas une vue de l'esprit de ma part, mais des applications pratiques, déjà en place, validé par l'expérience.

Ouf, j'arrive au terme de ce billet sur une note d'espoir!

A+

Référence audiovisuelle :http://www.arte.tv/guide/fr/047869-000/la-ville-du-futur-le-futur-de-la-ville?autoplay=1

Démonstration courte mais implacable

Par Le 09/10/2013

C.Q.F.D.


   Voilà, la démonstration est faite.

Ah, zut, je n'ai pas développé.

C.Q.F.D. = Carbone en Quantité en Fonds Diffus.

En effet, toutes ces générations qui nous ont précédé ont fait un travail exemplaire. Ils ont creusé, gratté le sol et le sous-sol pour en extraire le carbone essentiel à nos besoins énergétiques.

Puis, à force de le consommer après l'avoir séparé de ce qui n'était pas utile, on en « a foutu partout »! Ce qui était autrefois réservé à certaines zones géographiques est désormais tout autour de nous. Donc, il nous faut une épuisette pour capturer le CO (on sait faire), le combiner, par exemple avec l'hydrogène (on sait faire aussi) pour avoir un gaz combustible local, plus besoin d'importer du carburant carboné.

Ceux qui trouvent cette démonstration un peu courte, je conseille la lecture de ma page FB revue de presse https://www.facebook.com/pages/Des-id%C3%A9es-pour-une-meilleure-gestion-des-technologies-vertes-actuelles/161519560570887?ref=hl

où les différentes applications directes ou indirectes de ma théorie sont souvent présentées.

C.Q.F.D.

A ceux qui pensent  « mais pourquoi les industriels du domaine ne le font pas? » Je répondrai qu'ils leur faut encore amortir leurs structures de forage/extraction/transformation actuels.

A+

Rendez-vous jeudi

Par Le 05/10/2013

La Fête de la Science!


  Elle commence bientôt. Youpi!

Jeudi, à Tours, au Vinci, centre-ville, conférence gratuite d'un esprit extraordinaire, JM Jancovici.

Bon. Si vous ne pouvez pas venir, voici, en substance, ce qu'il va certainement, grosso modo nous raconter (j'y serai):

Je préviens, âmes sensibles, éloignez vous.

   Mais la peur n'évitant pas le danger, je vous conseille de regarder cette vidéo, et si vous avez quelques talents en physique ou en chimie pour trouver rapidement, très rapidement, des solutions, hormis le prix Nobel qui vous reviendra, votre simple survie en dépend.

Pour autant, je ne voudrais pas vous pourrir la fin de semaine, il fait plus beau aujourd'hui qu'au 21 juin, jusque là ça va, tout est normal, été indien vaut mieux que deux tu l'auras.

Bon, de mon coté, équation de base, vecteurs d'énergie et brique de base, hydrogène et carbone, je retourne à ma planche à dessin et à ma règle à calcul, en effet, bientôt, faute d'énergie, nous n'aurons plus de calculatrices.

Lavoisier avait sorti un truc pas mal, "rien ne se crée etc...", je vais m'en inspirer, du genre fouillons nos poubelles, y à p'tet kekchose à recycler...

A+