J+24 Après la reflexion, les propositions

Doniat Jean-Marc Par Le 05/09/2013 0

Causes et conséquences

   Hier j'ai écrit un commentaire sur une info.

Le site Enerzine.com est visiblement très lu vu que, à la suite de cette publication, le nombre de visites sur mes blogs a littéralement explosé.

Donc, si de nouveaux lecteurs sont parvenus jusqu'ici, on peut considérer que ce sont des professionnels tentés, voire séduits par mon profil atypique et qui désirent savoir quelle est ma stratégie pour les temps à venir.

Mon compte Viadéo a été aussi bien consulté, ce qui prouve que par la publication de mon nom, via les moteurs de recherche, on peut nous trouver rapidement, donc efficacement.

Mardi, sur Arte, une thématique consacrée à la transition énergétique de qualité (on frôle le pléonasme en parlant de cette chaîne), via deux documentaires, a donné un état des lieux de la politique menée en Allemagne depuis 2011, et de ses conséquences sur le niveau européen.

En allant sur arte+7, rapidement, vous pourrez vous documenter efficacement.

Information, analyse, adaptation.

Sur un nouveau billet que j'ai commenté ce matin, j'ai lancé un concept, l'énergie verte 2.0, c'est à dire, non plus la production actuelle d'électricité via le solaire ou l'éolien telle que nous le voyons aujourd'hui, mais la gestion, valorisation, stockage etc... pour éviter non plus des accidents d'alimentation faute de production suffisante, mais par une crise de surproduction locale vs les besoins au temps T.

En effet, l'Allemagne a tellement développé son parc que par instants, sur la marché européen, une production massive est offerte, dangereuse pour les réseaux et, de plus, bradée sur le marché de l'énergie, donc ne permettant pas la rentabilité du dit parc.

Se pose donc deux problèmes:

  • Infrastructure : les réseaux sont adaptés aux sites de production géants, centrales thermiques ou nucléaires, avec une diffusion en étoile au départ de ces sites.

    Pour autant, la production « verte » est diffuse, dispersée et doit se placer dans ce réseau non conçu pour.

    Donc, difficulté pour gérer cette surproduction ponctuelle en ayant pas forcément les aiguillages de réseau pour exporter ce surplus chez les voisins. Les rares voies disponibles ont des capacités d'absorption limitées.

  • Variations permanentes de cette production:

    Tributaire de la météo, forcément fluctuante, gérer un réseau en temps réel est incroyablement compliqué. Il faut, dès à présent, concevoir, voir même installer immédiatement des « tampons structurels » aptes à contenir ces variations extrêmes pour soulager le travail épique des gestionnaires réseaux.


Mais avec quels moyens matériels?

Là, je me positionne.

Mes études et simulations techniques me permettent de définir un ensemble de solutions qui sauront, suivant les besoins, se placer exactement où il est utile de la faire:

Bulbe solaire:

Prévu pour être installé là où il est impossible de poser des panneaux solaires (sites protégés, zones de conflits météorologiques etc...), ce système produit de manière quasi invisible des sources d'énergie en bout de ligne, sécurisant l'infrastructure réseau, tout en ayant un excellent niveau de protection aux agressions physiques. De conception standardisée, elle offre une solution économique via sa production en quantité industrielle.

Volant d'inertie/roue à cerceau:

Ce système peu coûteux, qui peut être télécommandé à distance, offre une double possibilité, production/stockage. Valorisant des friches industrielles, ce système compact est une solution aux variations de productions d 'énergie.

De plus, il pourrait être adapté aux véhicules, limitant d'autant la masse d'accumulateurs embarqués.

Donc volume de production considérable, amortissable rapidement.

Gaz de Stuttgart:

Comme son nom l'indique, ce n'est pas une idée personnelle. Mais c'est une solution complémentaire séduisante, permettant une capture de co², ce qui est une opportunité séduisante, vous en conviendrez.

Eolienne turbine encapsulée:

En complément de mon volant d'inertie, ce profil spécifique optimisera la production éolienne pour limiter drastiquement sa variabilité météorologique, simple travail sur la mécanique des fluides.

Retour de cycles basses température Stirling et autres.

Le documentaire de seconde partie d'Arte présentait une soltution à laquelle j'avais songé. Transformer l'énergie excédentaire en chaleur, le tout dans des grands réservoirs de liquide parfaitement isolés, pour les exploiter au temps utile. Soit on en fait un réservoir pour le chauffage, soir un produit de l'énergie à la demande via les cycles cités en titre.

Comment développer ces projets divers?

J'ai accès à des imprimantes 3d tous matériaux via mon réseau de partenaires. J'ai aussi, potentiellement des compétences disponibles à la fois dans la conception C.A.O. 3D et électronique pour la réalisation de prototypes et même en petite série.

C'est ma politique de l'offre. Ne reste plus qu'à trouver la demande.

J'offre donc une solution r&d économique et dynamique.

La mise en place d'une structure peut se faire en peu de temps, une solution via le Fab Lab de Tours sera à disposition au client demandeur dans les meilleurs délais au moindre investissement, ce que j'appellerais le D.A.E., Droit A l'Erreur, laboratoire réunissant des talents variés, testant ces différentes solutions technologiques et les adaptant aux besoins, structure souple qui s'autorise les erreurs comme source d'enseignement pour les travaux efficaces et définitifs à exploiter par des séniors capables d'utiliser des outils et matériaux « classiques » en en faisant de nouveaux usages, sur une période de temps correspondant à la période de transition sur la mise sur le marché, et des jeunes à la recherche de métiers excitants et foncièrement utiles.

Cet ensemble dynamique et efficace est réalisable, je le dis en peu de temps. De mon coté, je supervise les « ateliers », définis la stratégie de production/développement/implantation en accord avec les investisseurs.

Merci de m'avoir lu. Et de me contacter.

A+

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