Lettre d'un rèveur adressée à la science

Doniat Jean-Marc Par Le 30/12/2013 0

Lettre à un astrophysicien.

   Réellement envoyée, je vous la transmet pour partie, pour voir si mes rêves oniriques peuvent vous toucher...

Cher monsieur,

A force de regarder des entretiens sur Youtube, dont les vôtres, mon esprit béotien s'en mis a divaguer et, plus influencé par P. Dac, S. Guitry, Desproges que Descartes, les tableaux d'Eischer que Mendeleiev, je me mis à imaginer des choses un peu folles, des métaphores osées, des possibilités incongrues.

Voici donc le scénario que je me plais à estimer dans le champ des possibles sur ce qui nous entoure.

Pour me « rassurer », j'espère que nous sommes dans un equilibrium et que, même si nous sommes un univers parmi tant d'autres, « l'ensemble » des forces qui s'opposent et qui le compose, associé à celui des autres univers donne un 1, constant, reste juste à lui donner un nom.

Je « vois » cet agglomérât un peu comme un développement de la boucle de Moebius, en volume, avec des liens, des transits d'un univers vers d'autres.

Comment les justifier?

Mettons que les trous noirs soient une de ces portes. De par leur aspect, je les imagine comme des bondes géantes avec un broyeur extrême. Tout y est réduit comme on dit « à sa plus simple expression ». Une sorte de système digestif monstrueux. Mais aussi, et nous le verrons plus loin, comme une soupape.

Dans les trous noirs tels qu'on nous les raconte avec la langue des hommes, imagée, au-delà des simples (!) équations, se masse matière et énergie de manière inimaginable. Une tension folle doit y régner. Et, là, excusez de l'image peu ragoutante qui va suivre, je ne puis songer que rien n'en découle. Alors la vision d'un point noir sur le visage d'un adolescent m'est venue à l'esprit. Ce bouton a la résistance limitée. Paf, il explose! Forever young!

J'y vois comme un mini big bang...

Sous l'impulsion, expansion, brève du fait des contraintes physiques pure (gravité, mécanique des fluides etc...)

Mais à cette échelle, l'impulsion est si prodigieuse que nos référents sont inopérants.

Une cinétique incroyable est en jeu. Un flux électromagnétique dément est la genèse de ce « nouvel » univers en expansion. Des grumaux se constitueront après une certaines période, poussières telles que celles qui composent nos grêlons, nos flocons de neiges. Seulement, là, nous allons trouver des choses autrement plus vastes, des galaxies...

Poussés par ce flux électromagnétique « pur» car sans masse il nous pousse à la dérive sur un océan sans eau, ce « vide » spatial.

Et, là je me pose des questions de poète, du genre il y à-t-il des aurores boréales autour de galaxies qui montrerait indirectement ce flux?

Est-ce que la sonde Voyager, en tant qu'observateur quantique, « entend » la même chose que nous, observateurs sur Terre, à cette frontière de notre système solaire?

Si le son, ce fonds diffus, cet héritage de 15 M d'années a des variations telles que G. Gould s'amusait à jouer sur ce compositeur si mathématique qu'était Bach, que cela pourrait-il nous enseigner? Notre galaxie est-elle un voilier poussé par le vent ou un radeau sur un torrent? D'où vient la poussée, cette expansion de l'univers, enfin, du notre?

J'ai songé à la gravité, cette force si minime et, là, je l'ai vue comme une empreinte fossile de cette force d'origine originale. Tel un dinosaure, l'influx originel à laissé son empreinte physique. De la profondeur du vestige et de la connaissance du terrain (densité) on peut postuler la masse du mastodonte dont on n'a plus qu'un moulage. Plus trivialement, la gravité est la trace du « coup de pied au c.. » que nous reçûmes lorsque l'on nous dit, va jouer dehors!

Mais, si ce coup de pied est une sorte de sélection naturelle, certains qui l'on reçu l'on mal vécu.

Tant d'énergie d'un coup, cela peut être fatal!Trop d'expansion peut nuire gravement à la santé d'un univers, il faut un soulagement à cette claque magistrale. Alors, les plus faibles de constitution sont sacrifiés, dans un dernier éclat, une étoile trop vive, trop instable s'écroule, super nova et... trou noir, soupape de soulagement, souffre douleur universel, dont l'effacement permet aux autres étoiles, galaxies etc... de continuer leur chemin. Toute cette belle énergie consumée sur elle-même dans une dernière prostration ne sera pas perdue, puisqu'elle sera genèse d'un nouveau né astral. Des interconnexions se créent dans les multivers qui, si nous avions les moyens techniques, seraient peut-être les constitutifs d'un « infini » système nerveux global d'un organisme à N dimensions, dont la géométrie finale nous serait difficile à imaginer, porte de communication. Organiquement, on croirait, au mieux, à un muscle parcouru de crampes!

Comme nous sommes dans un Ensemble Moebiusien à N connexions nous avons une forme de symbole de l'infini, galbé, comme écrit à la plume, tout en circonvolutions, des pleins et des déliés.

A la croisée de ce symbole un tassement, l'encre y est plus noire, la plume s'y est faite plus lente, le frottement a été plus marqué.

Le temps n'y est plus car il n'y à plus de mouvement et à quoi sert le temps s'il ne peut mesurer une vitesse?

Mais comme la plume va reprendre son futur parcours, une nouvelle elipse, le temps tel un ressort d'horloge, va se détendre à nouveau, respirer, prendre ses aises...

Bref, si dans E=MC² on remplace M par un vecteur saurait-on dessiner un dinosaure, est-ce que les astrophysiciens, lorsqu'ils coulent leurs oreilles à celles de Voyager entendent-ils un choeur avec des tenors et des sopranos, ou un chant en canon? Derrière les galaxies qui s'éloignent de nous « voit-on » un mascaret ou le sillage du déplacement?

Voici mes rêves, inspirés de vos conférences et entretiens que j'ai dégusté comme un enfant devant un conteur...

Dans toute légende, il y à un fond de vérité...

Respectueusement, un béotien à la langue mathématique imparfaite.

Je rappelle que, donc, je suis sur Facebook, Tweeter, G+, Viadeo, Linkedin et que mon adresse mail est jean-marc.doniat@laposte.net

A+

Letter for an astrophysician

   A part of a letter I've wrote tonight, can I share it with You?

Dear sir,

By dint of watching interviews on Youtube, including yours , my mind has been in philistine to wander , and more influenced by P. Dac , S. Guitry , Desproges (humorists), than Descartes, I began to imagine things a little crazy, daring metaphors, incongruous possibilities.

Here is the scenario I 'd like to estimate the range of possibilities of what surrounds us.

To me "reassure" I hope we are in a equilibrium and that even if we are a universe among many others, the "whole" of opposing forces which compose, together with that of other universes provides a 1 constant remains just give it a name .

I "see" this cluster like a development of the Moebius strip, by volume, with links, transits of a universe to others.

How justified?

Let that black holes are one of those doors. By their appearance, I imagine like giant plugs with extreme mill. Everything is reduced as they say " to its simplest expression." A kind of monstrous digestive system. But, we shall see later, as a valve.

In black holes such that tells us with the language of men, pictorial, beyond the simple (!) equations are mass matter and energy in unimaginable ways. Crazy voltage must reign. And here, excuse the unappealing image that will follow, I can not think that nothing follows. While the vision of a black spot on the face of a teenager came to my mind. This button has limited resistance. Bang, it explodes ! Forever young !

I see it as a mini big bang ...

Spurred, expansion, short because of pure physical constraints (mechanical gravity , fluids etc ...)

But at this level, the pulse is so prodigious that our references are inoperative.

An incredible kinetic is at stake an electromagnetic flow insane is the genesis of this "new" expanding universe. Of grumaux to form after a certain period, such as those dust up our hail, our snowflakes. Only then, we will find other larger things, galaxies ...

Driven by the electromagnetic flux "pure" because it pushes us massless adrift on an ocean without water, "empty" space .

And here I am wondering poet, gender there to he auroras around galaxies which indirectly show the flow ?

Is Voyager as quantum observer, "intends" the same thing as us, observers on Earth, at the border of our solar system ?

If the sound, background radiation, the legacy of 15 million years has variations such as G. Gould had fun playing on this composer Bach that was so mathematical that could it teach us ? Our galaxy is it a yacht pushed by the wind or a raft on a river ? Where does the thrust, the expansion of the universe, finally, of our ?

I thought about gravity, this force so small and there, I saw it as a fossil imprint of this original original strength. As a dinosaur, the original impulse to let her physical footprint . The depth of the remnant and knowledge of the field (density) we can assume the mass of the juggernaut that is no more than molding. More trivially, gravity is the trace of the " kick in the a.. " We received when we are told , will play out!

But if this kick is a kind of natural selection, some that we received is resented .

So much energy at once, it can be fatal ! Too expansion may seriously harm the health of a universe, there must be a relief to this masterful slap. So weaker constitution are sacrificed in a last burst, too bright star, too unstable collapses, super nova and ... black hole, relief valve, universal suffering pain, which allows erasing other stars , galaxies etc ... continue on their way. All this beautiful energy consumed on itself in a final prostration will not be lost, as will genesis of a newborn astral. Interconnections are created in the multiverse , if we had the technical means might be the building of an "infinite " global nervous system of an organism to N dimensions, the final geometry would be difficult to imagine, door communication. Organically, you'd think, at best, a muscle cramps come !

As we are in a set Moebiusien N connections we form a symbol of infinity, curved, as written with a pen, while convolutions of thick and thin strokes .

At the crossroads of this symbol compaction, the ink is more black, the pen is made ​​slower, the friction was greater .

The time is gone because there is more movement and what is the time it can not measure speed ?

But the pen will resume its future course, a new ellipse, time as a clock spring, will relax again , breathe, take it easy ...

In short, if in E = MC ² M is replaced by a vector we can draw a dinosaur, is that astrophysicists, when run their ears to those of Voyager they hear a choir with tenors and sopranos, or a song in canon ? Behind the galaxies move away from us " we see " a tidal wave or wake of displacement?

Here are my dreams, inspirational conferences and interviews I enjoyed as a child to a storyteller ...

In any legend, there a grain of truth ...

Respectfully, a philistine to imperfect mathematical language.

I notice that, so I 'm on Facebook, Tweeter, G+, Viadeo, Linkedin and my email address is jean-marc.doniat@laposte.net

Have a nice day and see you soon!

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