Souciers, dowsers, futur du DD?

Doniat Jean-Marc Par Le 10/12/2013 0

Petit délire du matin!

   Pendant ma toilette, détendu, je me suis mis à penser aux sourciers.

Au bout des bras, une branche souple qui, soudain, réagit à la présence d'une circulation d'eau sous le sol.

Les opérateurs disent qu'ils ne peuvent pas contenir ce mouvement.

On a donc, là, ce que l'on appellerait en physique un travail.

Nous sommes actuellement, à la recherche de toutes les formes possibles d'énergie verte, non?

Suivant les lieux, le vent, le soleil, le courant d'un cours d'eau sont des sources d'énergie, suivant les moyens de conversion existant.

Là, je me suis amusé à imaginer ce que l'on pourrait faire avec le principe du sourcier.

Et, aussi, à essayer de comprendre comment ça marche.

L'illustration fournie devrait nous aider.

Les mains entourent la branche.

Nous sommes constitués d'eau, il y à du fer dans les globules rouges, notres système nerveux est comme un réseau électrique.

Les mains ne forment-elles pas comme de bobines électriques?

Regardons les angles formés par les mains et la pointe de la baguette. Lorsqu'elle s'oriente vers le haut ou vers le bas, c'est signe d'une présence d'un cours d'eau (cela ne marche pas avec de l'eau sans mouvement).

Nous retrouvons le triangle d'un champ électrique, le principe des trois doigts.

La baguette agit donc comme un interrupteur qui bascule.

On peut supposer que dans l'eau en circulation, du fait de l'érosion, des particules métalliques sont en déplacement, créant un effet électromagnétique.

On a donc fermé le champ électrique.

Si on était capable de reproduire artificiellement de phénomène, que la baguette soit reliée à un principe de résistance mécanique, ressort, roue etc... nous avons là un procédé de production d'énergie simple (euphémisme) sans forage ou travaux extraordinaires!

A l'inverse du vent ou du soleil, à priori, variables, nous pourrions avoir un principe fonctionnant 24h/24, certes limité aux zones des sources, mais utile car, justement, ces sources sont souvent dans des zones où l'acheminement en électricité est difficile (montagnes).

Donc, voici le challenge:

Trouver un sourcier acceptant d'être notre cobaye.

Lui faire détecter un lieu propice.

Essayer avec nos outils modernes de trouver le champ électrique produit.

A partir des données obtenues, reproduire artificiellement ce mode de détection.

On a ainsi un levier physique à exploiter.

Coupler ce levier à une génératrice.

Mesurer sur l'année les variations éventuelles.

Trouver les constantes.

Comparer le bilan global aux processus connus (photovoltaïque, éolien) et voir ce qui est le plus rentable.

Bon, maintenant que je vous ai donné le problème, je peux me consacrer à autre chose...

Des réactions?

Je rappelle que, donc, je suis sur Facebook, Tweeter, G+, Viadeo, Linkedin et que mon adresse mail est jean-marc.doniat@laposte.net

A+

Little trip in the morning!

  During my toilet , relaxed, I started to think dowsers .

At the end of arms, a flexible leg which suddenly responds to the presence of circulating water in the soil.

Operators say they can not contain this movement.

It was therefore, here, it would be called a physical work.

We are currently looking for all possible forms of green energy, right?

Following places, the wind, the sun, the current of a stream are sources of energy, according to the existing means of conversion.

There, I had fun imagining what could be done with the principle of dowsing.

And also trying to understand how it .

The illustration provided should help.

Hands around the branch.

We are made of water, there to iron in red blood cells, ours nervous system is like a grid.

Hands they are not as electric coils?

Let the angles formed by the hands and the tip of the wand. When it is moving up or down, it is a sign of the presence of a river ( it does not work with water without movement).

We find the triangle of an electric field, the principle of three fingers.

The rod thus acts as a switch that switches .

Presumably in the circulating water, due to erosion of the metal particles are in movement, creating an electromagnetic effect .

It has closed the electric field .

If we were able to artificially reproduce the phenomenon, the wand is connected to a principle of strength, spring, wheel etc ... we have a simple method of producing energy ( I'm jocking) without drilling or extraordinary work!

Unlike wind or sun, a priori variables, we could have a working principle 24h/24 certainly restricted to areas of the sources, but useful for precisely these sources are often in areas where the routing electricity is difficult ( mountains).

So here is the challenge:

Find a dowser willing to be our guinea pig.

Him to detect a suitable place .

Try our modern tools to find the electric field.

From the data obtained artificially reproduce this detection mode.

There is thus a physical lever to operate.

Coupling the lever to a generator.

Measuring the year possible variations.

Find the constants.

Compare the overall balance to known processes (solar, wind) and see what is the most profitable.

Okay, now that I gave you the problem, I can devote myself to something else ...

Reactions ?

I notice that, so I 'm on Facebook, Tweeter, G+, Viadeo, Linkedin and my email address is jean-marc.doniat@laposte.net

Have a nice day and see you soon!

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